Zlabia.com Le Rendez-vous des Juifs d'Algerie





Vers et poémes en vers libres.

Envoyé par bartou 
Re: Vers et poémes en vers libres.
09 décembre 2010, 07:52
Chapitre XI.

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‘…Ça alors… ?’.
‘…Oui, cela se passait de commentaires, c’était à la mode… ! Assez romantique… !’
‘…Bien nous allons donc le renommer mais d’après toi à qui pouvait t’il appartenir… ?’
‘…Ca je l’ignore, il faut chercher la propriétaire en tout cas, c’est surement un cadeau de A pour A… !’ Il n’y a que deux prénoms là dessus… ! ‘…Alphonse pour Aline…Pour toi… !’
‘…Mais c’est aussi une demande en mariage… ?’
‘…Oui, on dirait… !’
‘…Mais attend, mon grand père maternel s’appelle Alphonse… !’
‘…Et alors… ?’
‘…Et maman se nomme Aline… ! Mais mon grand-père ne pouvait épouser sa fille… ?’
‘…C’est un pur hasard, pour en savoir plus pose la question à ta maman… !’
‘…Ce soir en rentrant, je lui ferais part de ma découverte… !’
‘…Notre découverte… !’
‘…Pardon, exactement… !’

Pour la première fois, Alex se pencha et m’embrassa sur les joues avant de nous quitter et me serra la main.



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J’étais surprise par ce geste que je jugeais être une familiarité. Je rougis et lui fit part de ma gêne, je n’avais que 13 ans après tout. Et lui 21. Bien qu’ayant des formes respectables, je portais mon âge dans mes artères.

Au diner alors que nous étions à diner en tête à tête avec maman, mon oncle se faisant rare depuis l’entrée dans sa vie d’Eliane, je lui posais la question qui excitait ma curiosité.
Elle me regarda longuement puis…

‘…Mais je le croyais perdu… !’
‘…Donc, il peut t’appartenir alors… ?’
‘…Ben si je le vois, je le reconnaitrais… !’
‘…Je l’ai apporté, attends… !’

J’allais dans ma chambre et en deux minutes, je me représentais devant elle avec le précieux carnet. Elle n’en croyait pas ses yeux.


A Suivre …
Re: Vers et poémes en vers libres.
10 décembre 2010, 08:17
Moi Albert l’homme qui rit.

Ainsi nait l’homme ou la femme
A la fois pleurant et souriant.
Pleurant de par sa nature émotive
Riant de part sa nature aussi.

J’aime tant rappeler à ceux ou celles qui l’ignorent
L’indiscutable réflexion ‘….Dieu nous offre
Une heure de tristesse et 23 heures de joie… !’
Isthaq veut dire celui qui rit.
Il ni a pas de prénom de Bekeï* Pleurnicheur.
Pour un caractère de grincheux on dit de lui Bekeï.
D’un rieur on dit DAHAK. Plaisant aussi.
Et l’humain censé préfère mieux ce dernier que le premier.

Je ri souvent et franchement.
Je ne peux avoir un rire faux
Ma nature ne me le permet pas.

Je me suis donc mit au pas.
Rire de moi-même avant de rire sur les autres.
Et je préfère partager le rire en commun
Que l’ennui et les pleurs des lendemains.

Souvent je me paye un fou rire rassurant sans carte bleu
Ni espèces trébuchantes, évitant les hématomes bleus
D’une vie bête à pleurer.
Devant mon miroir bien aimé,
Ma tronche déjà se fait rire.
Et je me la paye comme un bon gueuleton.
Toujours au comptant et bien content.

Et c’est ma rate et non ma panse
Qui en tire les plus beaux profits.
Car cela étant dit,
J’aime vivre des situations burlesques
Et je cherche mêmes des drôles de types
Qui vous offrent leurs tors et leurs travers.

C’est par eux, par ces derniers que prend source
Le rire. Ce remède que je m’offre sans bourse
Déliée car du profit qu’on en tire les autres l’ignorent.

Du rire nait la réconciliation.
Et par lui le soulagement.
De l’apaisant Rire, j’en ai fais ma vertu.
Car aimer c’est offrir du Rire.
Et c’est souvent autour d’une table
Que la paix s’ouvre devant le rire.

Du coup, on oublie toutes querelles
Varicelles, boutons d’acné et ribambelles.

Aux visages souriant, les battants du ciel
S’ouvrent et vous voilà placés au premier rang
Des rieurs chérubins.
J’ai ma place réservé,
Sur mon testament couché,
Dans 125 ans ou plus,
Aux loges premières et si D ieu m’appelle
Avec le sourire, j’honorerai ma fonction dans le forum
Des SAINTS RIEURS.

Re: Vers et poémes en vers libres.
11 décembre 2010, 10:36
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Elle est vieille me dira t’on

Mais si jeunes sont ses paroles.

Fraiches comme un soda sorti

D’une bouche enfiévrée d’amour.



Elle qui à son âge , d’autres radotent

Odette quelle est belle ton Ode

A la Mamè, Mamè que par chance j’ai eue.

Mamé de la Provence

Au parler chatoyant ou de chez moi

Mamé reste tendre pour l’éternité.



Et quand elle s’en va, au pays des Mamés

Elle grave dans notre cœur un gros pavé

Un pavé de tristesse infini pour ceux

Qui ont eu la chance d’en côtoyer.

Merci Odette de m’avoir fait pleurer.
Re: Vers et poémes en vers libres.
13 décembre 2010, 09:44


Bientôt.



‘…Bonjour Monsieur… !’

‘…Bonjour, que puis-je faire pour vous… ?’

‘…Voilà, je souhaiterai diversifier mes portefeuilles… ?’

‘…Bien, Monsieur…S…..Compte 6….. !’

‘…Vous connaissez mon nom et mon compte sans poser de questions… ?’

‘…Oui nous sommes faits pour cela… !’

‘…Et comment le savez vous…?’

‘…Logiciellement… !’

‘…Ben oui c’est logique… !’

‘…Donc ce que je vous propose c’est de faire ce qu’on appelle un panier… !’

‘…Je connais les paniers, j’ai eu tant à soufrir de ces couffins chez vous il y a 20 ans, que j’ai laissé des plumes… !’

‘…Voulez vous opter pour des placements courts ou longs, ces derniers sont avantageux fiscalement… !’

‘…Longs de combien… ?’

‘…8 ans… !’

‘..J’ai… !

‘…65 ans donc à 73 ans vous en tirerez des profits… !’

‘…Ah vous connaissez aussi mon âge… !’

‘…En date du 25 NOVEMBRE vous avez été opéré des varices, le 15 Octobre d’une hernie inguinale, il a 20 ans, d’un kyste poplité dans le genou droit par le docteur …F….. ! Vous suivez un traitement pour la ménopause donc je ne vous conseille pas de demander un crédit au vu de votre état de santé… !’

‘…Je ne vous ai pas demande un prêt ni mon bulletin de santé, je suis venu pour placer… !’

‘..Attention, vous me paraissez nerveux, soyez cool… ! Donc, je vous conseille de placer dans des assurances vie sur 8 ans, les deux premières

Années nous vous offrons 6 % et les années suivantes 3,5% …Si vous sortez avant la fiscalité sera sévère… ! Qu’optez vous… !’

‘…Je réfléchis… !’

‘…Faites vite le temps qui vous ai imparti est 15 minutes, il ne vous reste plus que 3 minutes… !’

‘…Qu’est ce que vous voulez que je place en 3 minutes… ?’

‘ …Pour le moment rien votre temps est écoulé, au revoir Monsieur…S….. ! Si vous voulez un autre rendez vous, il suffit d’enregistrer votre voix dans la messagerie, je vous reconnaitrais… !’

‘…Tiyah sadec… !’

‘…Amin… !’

‘…Ah parce qu’en plus vous êtes juif et tunisien… !’



Voilà ce qui nous attend dans pas longtemps, un robot en lieu et place de votre conseillère bancaire.
Re: Vers et poémes en vers libres.
13 décembre 2010, 09:46
Chapitre XII.

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Irène le serra bien fort entre ses paumes et elle laissa glisser une larme.
Elle ferma les yeux et je crus deviner qu’elle dansait dans sa tête une de ces valses qu’elle aimait fredonner.




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Elle revint sur terre.

‘…C’est ton grand père Alphonse qui me l’avait offert lors de la venue de mes premières menstruations, il y a fort longtemps, en me disant ‘…Je te souhaite d’y inscrire ton futur et unique prétendant…’ Il y avait qu’une seule initiale au début A et un soir lors de mes 18 ans lors d’un bal des célibataires alors que j’étais la seule encore à tenir ce qui à l’époque était encore à la mode, je vois venir un gentil homme, ton futur papa, m’inviter à danser. Il était surpris de voir cette chose mais par politesse, il inscrivit son prénom dans la page intérieure.

Alphonse, comme ton grand-père. Je lui réservais la dernière valse de la soirée. Et depuis ce fameux soir, il demanda la permission à mes parents de passer quelques après midi chez nous. Quelques mois plus tard, nous nous sommes mariés… ! Et il ajouta plus tard, ‘A/A…Pour la vie… !’
‘…Quelle belle histoire… !’
‘…Je te l’offre ma chérie, garde le précieusement, on ne sait jamais, il te portera chance… !’

Je racontais à Alex la narration. Il était surpris par ce que je lui racontais.

Après cette révélation, les rencontres entre Alex et moi se firent plus ponctuelles plus chaleureuses.

Je m’étais habituée à sa présence, cette présence amicale qui me rendait joyeuse. Bien dans ma peau. Et je pense qu’il éprouvait la même sensation.

Puis un soir, avant de nous quitter, je lui demandais…
‘…Alors, plus de bises avant demain… ?’
Il resta un moment dubitatif puis il comprit que j’avais saisi qu’enfin de compte sa bise n’était en fait qu’innocente. Mais là, il me bisa presque sur les lèvres au point de sentir son haleine.




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J’étais ravie par ce baiser si prés de mes lèvres gourmandes.
C’était arrivé par une après de Jeudi. Nous étions dans la cave à vaquer à notre mission, lorsque prit d’une soudaine envie de m’approcher de lui, je lui dis
‘…Il y a une envie qui monte en moi… !’
Il me regarda dans les yeux, tout en posant son agenda sur une étagère. Entre deux bronzes thaïlandais qui s’enlaçaient. Une posture d’amour.
Je baissais les yeux et fixait ce couple immobile lié dans une position qui ne prêtait à une aucune équivoque. Je sentis monter en lui une gêne qui en disait long sur son trouble. Il me regarda droit dans les yeux et comme dans un ballet nos deux regards se posèrent sur ce couple en plein ébats. Il me prit la main la serra bien fort dans la sienne et la porta à sa bouche.
‘…Je…Je…ne sais que dire ou que faire en pareille circonstance… !’
‘…Ne dis rien, il y a des silences qui invitent à l’amour dans le silence… !’


Un bien grand mot qui faillit me faire chavirer.
Il me prit par les hanches et délicatement prit mes lèvres dans les siennes.

Pour la première fois de ma vie, j’ai senti monter en moi une forte chaleur et tout mon corps était pris de vertige. Mes pensées tourbillonnaient.

Je pris sa main et la porta à hauteur de mes seins. Il comprit ma démarche et sans hésiter, il les caressa par-dessus mon soutien gorge tout en me serrant dans ses bras. Ce rapprochement de nos deux corps enlacés qui ne faisait plus qu’un me fit sentir son organe proéminent par-dessous sa braguette. Il était à la bonne hauteur. Et j’ai eu ce soudain plaisir d’aller jusqu’au fond des choses lorsque…
‘…Aline… !’
‘…Oui Alex… !’
‘…Nous sommes dans la cave de ton oncle, et par respect pour lui et pour tous ses objets, je n’ose.. !’
Le voilà respectueux d’objets inertes alors que je brulais de désir.
‘…Que se passerait-il si nous passions à l’acte… ? Les objets se mettraient à hurler… ? A se taper dessus… ? Appeler Police Secours… ? Les urgences… ?’ Dis naïvement.
‘…Non, en fait, cette chose est sacrée et je m’interdis d’aller au-delà… !’

Je ne pus répondre à cela, il avait des principes alors que j’étais prête à violer les miens. Je l’embrassais ardemment pour ses principes d’un autre âge repoussant aux calendes grecques cette envie de copuler avec celui que j’aimais en silence sans le lui avouer.
Nous en sommes restés là à flirter tous les jours sans contrevenir aux sacro saints principes. Un calvaire pour une fille de 16 ans.
A Suivre…





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Re: Vers et poémes en vers libres.
14 décembre 2010, 03:08
Quote
bartou
Moi Albert l’homme qui rit.

Ainsi nait l’homme ou la femme
A la fois pleurant et souriant.
Pleurant de par sa nature émotive
Riant de part sa nature aussi.

J’aime tant rappeler à ceux ou celles qui l’ignorent
L’indiscutable réflexion ‘….Dieu nous offre
Une heure de tristesse et 23 heures de joie… !’
Isthaq veut dire celui qui rit.
Il ni a pas de prénom de Bekeï* Pleurnicheur.
Pour un caractère de grincheux on dit de lui Bekeï.
D’un rieur on dit DAHAK. Plaisant aussi.
Et l’humain censé préfère mieux ce dernier que le premier.

Je ri souvent et franchement.
Je ne peux avoir un rire faux
Ma nature ne me le permet pas.

Je me suis donc mit au pas.
Rire de moi-même avant de rire sur les autres.
Et je préfère partager le rire en commun
Que l’ennui et les pleurs des lendemains.

Souvent je me paye un fou rire rassurant sans carte bleu
Ni espèces trébuchantes, évitant les hématomes bleus
D’une vie bête à pleurer.
Devant mon miroir bien aimé,
Ma tronche déjà se fait rire.
Et je me la paye comme un bon gueuleton.
Toujours au comptant et bien content.

Et c’est ma rate et non ma panse
Qui en tire les plus beaux profits.
Car cela étant dit,
J’aime vivre des situations burlesques
Et je cherche mêmes des drôles de types
Qui vous offrent leurs tors et leurs travers.

C’est par eux, par ces derniers que prend source
Le rire. Ce remède que je m’offre sans bourse
Déliée car du profit qu’on en tire les autres l’ignorent.

Du rire nait la réconciliation.
Et par lui le soulagement.
De l’apaisant Rire, j’en ai fais ma vertu.
Car aimer c’est offrir du Rire.
Et c’est souvent autour d’une table
Que la paix s’ouvre devant le rire.

Du coup, on oublie toutes querelles
Varicelles, boutons d’acné et ribambelles.

Aux visages souriant, les battants du ciel
S’ouvrent et vous voilà placés au premier rang
Des rieurs chérubins.
J’ai ma place réservé,
Sur mon testament couché,
Dans 125 ans ou plus,
Aux loges premières et si D ieu m’appelle
Avec le sourire, j’honorerai ma fonction dans le forum
Des SAINTS RIEURS.


Machallah , sa ma touché ces si joliment bien dis que je me dis Machallah yeah Machallah
Re: Vers et poémes en vers libres.
14 décembre 2010, 07:05
Aâliné el hamd ye sidi.
Re: Vers et poémes en vers libres.
14 décembre 2010, 08:13
De l’art scénique.

Chers amis, je ne saurai vous conseiller trop de prudence.
Oui la prudence est de mise aujourd’hui et elle fait partie de notre quotidien.

Nous vivons par contre dans l’ignorance de beaucoup de choses qui à la longue nuisent à notre santé.

Nous avons eu droit au poulet ‘aviairé’, à la vache folle, au sang contaminé et à toutes sortes de médicaments véreux mis sur le marche durant des années et là encore on nous parle du MEDIATORE. 500 morts, une bagatelle aux yeux de certains impudents.

Et nous en sommes qu’au début. Déjà la polémique enfle et prend ses quartiers et le coupable ne sera jugé que dans 20 ans et encore.
Pourtant nous avons un organisme de contrôle censé tout contrôler. Il n’en est rien, il ne contrôle rien.

Mais ce n’est pas de médicaments que je veux vous entretenir mais d’alimentation.

Nous ingurgitons, tous les jours, sans le savoir de petites doses d’Arsenic, rien que cela. Présent dans l’eau du robinet, dans les eaux dites de source, dans le pain etc… Sans compter tous les acides gras aminés et pas laminés qui nous laminent petit à petit la santé.

A petites doses heureusement alors que l’on sait que l’arsenic tue justement à petites doses. Il passe inaperçu dans l’organisme et au bout de 40 ans, vous êtes cuits. Nous sommes donc en danger et de futurs morts si on ne prend pas les précautions nécessaires avant que cela ne soit trop TaAAArd.

L’heure est à la réflexion, à la méditation, à la concertation, à la concentration, pour mieux endiguer ce fléau sournois.
Je vous conseille donc de bouffer moins que 5 légumes et 5 fruits.
Beaucoup n’ont pas les moyens de se payer ce luxe mais quand même, prenez garde car les légumes, les fruits en contiennent. Puisque mal traités par les insecticides. Pour ne pas trépasser vite fait, se nourrir modérément et prendre ses précautions. UNNN peu de chaque chose.
Avant lorsque j’étais sans culotte, j’ai combattu sur les barricades, j’étais un révolutionnaire mais depuis que je me suis marié, je n’en porte plus, c’est ma femme qui la porte. Une responsabilité en moins et le cul en l’air.

Je me suis allégé d’un vêtement mais ne me demandez pas de montrer mes fesses ici, vous serez tous déçus.

Ce que je voulais dire c’est que NOUS FRANÇAIS avons perdu le sens de la révolte. Nous sommes plus passionnés de feuilletons, de recettes culinaires de romans à la rose et au vinaigre que d’aller par ce froid BRANDIR L’étendard. Et chanter la MARSEILLAISE à qui veut l’entendre.
Et puis nous sommes une nation civilisée avec bcp de valeur et de casseurs.

Il faut le dire et insister la dessus. Notre société se repait dans le silence et dans son bien être. La révolution n’est pas pour demain rassurez-vous, je maitrise la situation.
Il y a quand même un espoir. L’INSE nous apprend que nous aurons dans les années 2020 six millions de centenaires.
Elle n’est pas belle cette embellie… ????

Et puis l’espoir fait vivre alors malgré l’ART SCENIQUE nous avons tous devant nous de beaux jours ensoleillés.
D’ailleurs c’est par ce premier lui que je vous fais rire et le poison n’est pas dans tous les aliments mais chez certaines d’ici
.
Re: Vers et poémes en vers libres.
16 décembre 2010, 09:21

Je suis resté ‘pecnaud’.



Je n’évolue pas assez vite bien que français depuis 15 ans.



Et comme le dit Mon_Germain grand reporter bidon ici, ‘…On ne change pas une équipe qui gagne… !’ Surtout que l’équipe joue en solitaire avec un seul joueur. Sans arbitrage.



Tenez, croyez vous que mes gouts culinaires ont changé… ? Non, ils sont restés attachés depuis ma naissance ….A la mloukhiya, à la ganawiya, à la chaqchouka, à la soupe lchen assfour (langue d’oiseaux, aux hams, ( pois chiches) etc….Aux noms barbares qu’aucun français digne de ce nom ne connait. Et pourtant je suis français. Le bœuf bourguignon je ne connais pas lorsque j’en ai demandé à ma femme, elle m’a dit '...Contente toi de celle de la VILLETTE...!'



Je n’arrive pas même pas à citer des plats culinaires français tellement je les ignore. Ah oui il y a le cassoulet. Je sauve l’honneur, ah aussi les gratins au fromage, deux fois je sauve l’honneur. Mais à part cela, je ne peux rien citer d’autre ah pardon le bâton berger zut et le fromage de biche PRESIDENT… ! Ouf, sauvé des plats comme MOISE. Le nom de vins que dalle, sauf la Vve Cliquot encore faut t’il qu’ielle soit un vin. Les Châteaux bof, les chevaux oallalala….Les montures ca me fait mal aux fesses. J’aimerai bien ressembler à un Monsieur Rigaud, à Caron, à Jacob* (amis d'ailleurs) ca c’est du bon français et à tant d’autres qui parlent bien, qui sentent le bon ragout de la France profonde mais moi, je sens quoi… ? L’harissa, l’huile frite des banatages ou des boulettes, oui le couscous. Voilà, je sens les plats médiévaux. J’aurai aime sentir la langoustine, les huitres, les calamars, les crabes pas l’adam hout ni le vin BOKOBZA. Ca me donne des complexes et le soir lorsque je rentre chez moi j’aimerai bien que ma femme m’annonce ‘…CHERI, je t’ai fais une volaille printanière… !’ 'Ah, que c’est bon la volaille printanière en hiver. Ou alors ‘…CHERIE JE T AI FAIT UNE TERRINE DE CHOUX…MON CHOU… !’



Ah que c’est bon de manger des menus en paroles françaises. Un soir, elle m’annonça ‘…CHERI…MON AMOUR…TRESOR…. ! Tu sais je t’ai préparé un bon plat de CASSOULET…. ! Tout heureux, je m’assoie et là je vois de la BSAL OU LOUBIA. Sans rien dire, je l’ai mangé mais j’étais affreusement triste. J’étais déçu. Une bonne tranche de lard avec un bon vin quel kif…J’ai voulu donc un jour faire jouir mon palais d’une bonne cuisse de jambon fumé (ca se fume ca… ?) j’ai donc visé une boucherie française et je suis rentré en prenant soin de voir si je n’étais pas suivi. J’ai même mis une cagoule, le boucher a eu peur mais juste au moment où il allait me couper le gigot, une averse m’a surpris je me suis dit ‘…Ah c’est un signe de D ieu… !’



J’ai laissé la cuisse pour sauver mon âme.



Vous croyez que je vais pouvoir changer mes plats barbares pour des plats convenables… ? A mon âge… ? Peut-on changer ses habitudes culinaires…? 65 ans que je suis enfermé dedans sans ouvrir le bec, sans protester, soumis au diktat du Kacher… ?



Au fond vous savez, on ne change pas une équipe qui gagne même si je la joue seul.

Et je me sens si heureux devant un plat de BISSARA. Lentilles.


Re: Vers et poémes en vers libres.
17 décembre 2010, 10:11

ON A RETROUVE LA TÊTE DE HENRI IV.

D IEU merci, même loué soit son nom, ‘…Rien ne se perd tout se retrouve… !’



Deux siècles durant les historiens, les chercheurs et les archéologues ont enfin trouvé la tête du bon ROI HENRI IV.

Mais pas la roue ou le bucher où fut mis à mort RAVAILLAC.



La nouvelle me réjouit à plus d'un titre car comment un ancien ROI de FRANCE peut-il régner avec sa couronne s’il n’a pas de tête là bas en haut au PARADIS....? Et le meilleur des sujets des macchabés n’aurait jamais obéit à un monarque étêté au royaume de la mort. Cela me rappelle l’histoire de cette vieille voisine Mdame Taieb à qui on rapporta chez elle, la jambe de son mari. L’hôpital avait oublié, par distraction, de la remettre dans la bière et bien sur, le membre est arrivé par ambulance.

Elle s’écria, fort désappointée ‘…Mais comment JULES va-t-il faire là haut sans sa jambe… ?’ Devant le préposé tout de blanc vêtu et bien ahurit par la question.



La providence bonne enfant est venue donc au secours de nos savants. Le célèbre bourbon peut se reposer entièrement dans son caveau après recollement de la tête. Personne n’y verra rien là haut.



Perdre sa tête cause souvent problème, d’ailleurs ne dit t’on pas ‘…J’ai perdu la tête.. !’ Il y en un qui la perdue pour Suzy durant une chanson. D’autres la perdent complètement bien qu’il la porte. Les étourdis en sont la preuve. Mais il n’y pas qu’eux qui la perde et sans l’être, ca nous arrive de perdre nos idées et toutes formes de bonnes conduites. Tout est dans la tête et dans l’éducation. Mais si elle est bien accrochée et que les idées sont claires, la tête ne se perd pas.



Tout porte donc à croire que la tête d’un défunt est aussi importante que celle d’un vivant.

Sans doute une question d’esthétie.



Montaigne disait déjà, à son époque ‘…Je préfère avoir un cocher avec une ‘…TÊTE BIEN FAITE QUE BIEN PLEINE… !’

Cette trouvaille a eut une grande résonnance chez les français, en ces temps de crise. A l’approche des fêtes et bien plus chez la famille des BOURBONS qui retrouve enfin la paix avec deux siècles d’espérance. Certains mystères se transforment en miracles à l’approche de NOEL.



Et je partage la joie de cette illustre famille qui peut enfin fêter cette traditionnelle fête en ayant tous ces membres au complet. Et clore un deuil épuisant.

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