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Vers et poémes en vers libres.

Envoyé par bartou 
Re: Vers et poémes en vers libres.
06 novembre 2010, 12:38
Ainsi prend fin ce récit.
Merci de l'avoir suivi.
A Bientôt dans un autre volet plus attrayant.
Bartou.
Re: Vers et poémes en vers libres.
06 novembre 2010, 12:44
'....LE CARNET DE BAL...!'


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Re: Vers et poémes en vers libres.
10 novembre 2010, 11:32
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Moi,
Aline, jeune fille
Née pas loin de Varsovie,
Orpheline de père,
Narre une partie de ma vie.
Et sur les ponts
Mon oncle m’apprit
Le cheminement de la vie.
La vie qui un jour me réserva une surprise.
Comme elle sait le faire.
Un prénom inscrit sur un carnet de bal
Scella mon destin
Avec celui que j’aime.
Je vais demain vous raconter une partie de ma vie.
Dans le CARNET DE BAL.




Aline Obadiovsky la narratrice, la fille de Irène rôle tenu par Lola.

Isaac le frère de Aline role tenu par Goerges Secnazy.

Moche le grand père paternel rôle tenu par Braham.

Alphonse le grand- père maternel rôle tenu par Meyer.

Adam L’oncle de Aline et fils de Fredda role tenu par Breitou.

Fredda la tante de Aline et maman de Alex rôle tenu par Mamili.

Alex l’aide de Adam et ami de Aline rôle tenu par Freddy.

Eliane la jeune épouse de Adam rôle tenu par Michka.[/[/size]center]


Tous les événements narrés dans cette nouvelle sont imaginaires et ne se rapportent à aucun fait connu ou rapporté.
Seule mon imagination est la cause de cette création.

LE CARNET DE BAL.

Aline Obadiovsky était mon nom et prénom de jeune fille.
Je suis juive ashkénaze, orpheline de père.
J’ai 65 ans aujourd’hui, maman de quatre enfants, et j’habite à Paris rue ST CLAUDE avec mon mari et mes enfants.

Je ne suis pas née dans un pays des merveilles mais dans un quartier cossu, dans une ville pas très loin de Varsovie, Krichva, un grand bourg de 100 000 habitants, connu dans tout le pays pour son grand théâtre KRAZINSKA situé sur la place qui porte son nom.




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LA VISTULE DE MON ENFANCE.

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Coulait à quelques deux cents pas de notre logis. Et c’est là que papa me promenait souvent sur les berges et ainsi croiser les péniches sur le fleuve qui montaient et redescendaient le long cours lorsque le temps s’y prêtait. J’avais 5 ans.
J’aimais surtout me pencher du grand pont Wichlinski qui séparait notre ville en deux grands quartiers. L’un moderne et l’autre ce qu’on surnommé la ville médiévale avec ses tours, ses châteaux et ponts levis sa vieille église mille fois retapée. Les habitants du quartier opposé les avaient surnommés les Gueux, parce que campagnards et pauvres. On y croisait des charrettes tirées par des chevaux de traie remplies de sac de blé ou d’avoine. Les gens de l’autre rive étaient bien pauvres mais heureux dans leur campagne verdoyante et même l’hiver, ils étaient toujours heureux. La joie ne tient pas compte des intempéries car elle habite le cœur. Et du cœur, ils en avaient.
Papa craignait pour moi lorsque de trop de témérité, j’osais me pencher. Sans rien faire paraitre, il s’accotait, prêt à toutes éventualités. Je le regardais et mon regard était pour lui l’assurance que je contrôlais la situation. Mon jeune frère Isaac par contre n’avait pas le droit de s’approcher de la balustrade, il appréhendait un mauvais geste de sa part. Bien que raisonnable, mon jeune frère était par moment imprévisible et papa le mettait souvent en garde contre certains dangers.


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Lorsque papa se décommandait pour la promenade dominicale, Moche mon grand père paternel prenait le relais. Il s’abstenait par contre d’inviter Isaac, mon frère.

‘…Je ne peux pas surveiller deux jeunes écervelés à la fois… !’ Disait-il. Un prétexte futile selon mon jeune frère qui lui répondait.
‘…Je connais Moche la raison de ton désistement, celui de me prendre, tu crains une bêtise de ma part.. !’

A Suivre…
Re: Vers et poémes en vers libres.
10 novembre 2010, 11:36
Re: Vers et poémes en vers libres.
13 novembre 2010, 09:29
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Comme la musique légère
M’emporte dans les sillages
De ce bel eldorado divin.

Et du coup, me voilà inspiré
Par tout, tout ce qui donne
A mes oreilles la sensation
De planer quelque part loin d’ici.

Dans l’infini beau accessible
Aux gens qui goutent au calme
Loin de la fureur des vagues
Apocalyptiques, loin de la politique
Loin de ce brouhaha sans notes
Sans rythme, sans mesure aucune.

Ce brouhaha menaçant ennuyeux
Angoissant, mortel, alors qu’un coup de violon
Un souffle dans une trompette,
Viennent me rappeler combien la musique
Est don du ciel et que les cons
Jouent de la trombone bouchée.


Bientôt suite du récit '...LE CARNET DE BAL...!'
Vous aimerez parole de Bartou.
Re: Vers et poémes en vers libres.
13 novembre 2010, 09:42
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'…Valse mon cœur.
Valse à mille temps
Prends ton temps, mon cœur
Valse au dessus de ma tête
Valse loin d’ici, tourne et retourne
Mon âme, valse et re-valse
Et surtout ne t’arrête pas.

Seul le cœur des méchants
Font du sur place mais toi
Mon cœur danse sans jamais t’arrêter
Tourne, vrille mon cœur, et surtout ne lâche pas.

Mon cœur valse,
VALSE MON CŒUR…
VALSE ET NE SLOW JAMAIS….

Mon cœur amour de mon âme.
A Trois temps, à six à mille temps
Valse sur tous les temps
Le jour approche mon cœur
Alors danse et valse.

Valsons mon cœur chéri
Prend mon bras, enlace-moi
Embrasse-moi mon cœur
Avec toi, je ne valse plus
Je nirvanise.
Merci mon cœur chéri...!'
Re: Vers et poémes en vers libres.
16 novembre 2010, 09:51
AIDCOM MABROUK.


Aâlem...TINI...§§§§§


Âlem..Tini..

Ye Blédi él hanina…

Aâlem…Tini…

El jew ouél farha…

Ouél bayid él haziIIIIIn.



AâleEEEE...Mtini Aââ’lemtiniIII.

El sokhfa ouel hanén.

Yé Bled él solh

Yé zamili.



YéEEE mah’boubti…

Fakartini hayéti

Ou haAAAyartiniII.

Oué nemssah dem’yitIIII….

Mel khdoudi…



Oue nemssah dem’yitini…

Mél khdoudi élli maj’rouhin

Mél cel youm éli rahouti.



Ahhhh…Ah….Yé majmouyati…

Ye zémiléti…Fi élbi marchoucin

Oué mé nassini…!!!

Yé Haqeloued…Yé Bledi él jamila.

Ye bent el bhar ye omri….
Re: Vers et poémes en vers libres.
18 novembre 2010, 09:38

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Chapitre II.


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Isaac voyait juste et mon papi ne répondait pas, préférant invoquer sa légère surdité fictive. Une astuce pour se dérober à une vérité qu’il reconnaissait en son for intérieur.

Avec Moche, la promenade s’agrémentait par des anecdotes de son ancien vécu. Il était intarissable dans l’évocation de ses souvenirs, il détaillait avec une précision d’horloger les échoppes de son quartier d’avant la guerre 14/18 et lorsqu’il en parlait son regard s’illuminait. Il tendait même l’oreille pour mieux s’imprégner de ces décors anciens où les bruits les images, parfois les odeurs s’entremêlaient dans son ouïe qu’il disait lourde mais qui ne l’était.

Il était rusé.


Lorsque je jouais du piano dans le salon, il était le premier à relever les fausses notes.
Il disait…

‘…Aline, je n’ai rien entendu… !’

Allusion à mes dérapages, c’est là où j’ai compris que sa surdité n’en était pas une.
Son regard malicieux en disait long sur son jeu et maman bien jeune s’en amusait en me chuchotant

‘…Surtout ne le contrarie pas… !’

Elle adorait son beau-père, celui qui durant la première guerre mondiale avait combattu à cheval les sanguinaires cosaques russe, dans les steppes polonaises et s’en est sorti indemne malgré les souffrances et les deuils qu’ils avaient endurés. Il évitait de parler de cette période noire, de douleurs qui lui rappelaient la disparition de ses parents, de ses frères et sœurs.
Seul survivant d’une famille qui comptait plusieurs membres.
Mon grand- père maternel Alphonse par contre vivait à Paris depuis longtemps, rue Montmartre. Je ne l’ai vu qu’une fois lors d’un voyage avec maman.


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A Suivre…
Re: Vers et poémes en vers libres.
18 novembre 2010, 09:40
Chapitre III.

Ses deux enfants Joyce et Alex se prédestinaient à la grande confection, comme leur père, mon second papi, fournisseur en chapeaux et amateur d’art.

Prévoyant, les événements futurs de 45, Alphonse dut fermer son grand atelier pour aller s’installer à Londres. Joyce leur second fils prit de fortes fièvres un soir, durant le blitz de Londres décède, à l’âge de 8 ans. Le couple se retrouve avec un seul garçon Adam 16 ans, l’ainé, mon oncle.

Alphonse avait toujours à l’esprit qu’il reviendrait un jour reprendre son commerce. Pendant cette période, il décède qqs mois plus tard suite au chagrin de la perte de son fils et ma tante vécue dans le deuil durant tout le restant de sa vie.


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Adam et ma tante Fredda, vécurent à Londres grâce aux économies de leur père et époux durant tout le temps que dura la guerre et à la libération de Paris, ils retournèrent vivre dans la capitale.

Surtout animé d’un grand courage, Adam relança la fabrique de chapeaux de son défunt papa. Il n’avait que 22 ans. Et pleins de projets.
Durant son exode, il mit à profit son temps à créer de nouveaux modèles de chapeaux en attendant de les confectionner. Il vivait de son rêve.

La guerre enfin finie, sa maman Fredda (ma tante) et lui rentrent à Paris, retrouvant ainsi leur ancien appartement de la rue ST Claude, lui avec des croquis pleins les valises espérant bien sur leur donner vie et elle avec ses deux chagrins.

Adam, une fois installé démarche quelques grandes enseignes et lorsqu’il estima avoir rempli son carnet de commandes il se lance, avec qqs anciens employés retrouvés, des survivants juifs de l’ancienne entreprise de son papa, dans le démarrage de l’atelier paternel qu’il remit sur pieds.

Il était aussi animé, malgré son jeune âge, d’une grande passion, l’achat d’œuvres d’art. Tant et si bien qu’au bout de quelques années, il fut reconnu comme maitre antiquaire tout en étant ‘chapelier’.

Il avait le coup d’œil et personne ne pouvait le mettre à défaut tant son acuité visuel était phénoménal.

A Suivre …



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Re: Vers et poémes en vers libres.
23 novembre 2010, 09:37
Sur le chemin qui mène vers la fortune



Il n’y a pas de panonceaux.

Certains les cherchent, d’autres passent à coté.

Bcp conjuguent fortune avec Tune.



Or fortune veut dire aussi chance.

Et la chance existe, oui elle parait

A certains moments de la vie

Sous le bout du nez mais voilà

Ils regardent ailleurs, vers les vices

Les casinos les jeux etc…

Comment voulez vous que la CHANCE

S’investisse chez un malfrat

Ou chez celui qui tous les soirs,

Au mépris de sa famille, de sa femme

De ses enfants, fait tourner

Ces yeux sur une table de Black Jack ou de roulette.

Sans oublier bien sur les cartes.



Je sais de quoi je parle.

La chance n’aide pas les calamiteux.

Les poches trouées et les dispendieux.



Il y a aussi cette grande fortune

Qu’on appelle la SANTE.

Cette santé qui fait que nous voudrions vivre

Longtemps auprès des nôtres même si l’argent fait défaut.

Boul ââli.

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