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Vers et poémes en vers libres.

Envoyé par bartou 
Re: Vers et poémes en vers libres.
12 août 2010, 11:29
SAHA CHRIBET'COM.



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Re: Vers et poémes en vers libres.
14 août 2010, 16:24
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Les paroles s'envolent
Comme plumes au vent.
Seuls les écrits restent
Et se retiennent souvent.

Dans cette Lumière ou Clarté
Nous avons tous un coin sombre.
il en faut pour ne pas bruler.

Par Icare le téméraire ici cité,
Le fils de Dédale et de Naupacté,
la belle leçon est apprise
Et retenue depuis sa chute promise
Par son destin.


Qui veut voler trop haut,
Et rejoindre le soleil,
Pâtissent ses frêles ailes.

Et les fossoyeurs des fonds
Trouvent l'abime sous les océans.
Aller plus bas, c'est le feu de l'enfer
Qui 'charbonne' les inconscients.

Restez en équilibre sur un fil
Comme funambule entre ciel et terre
Et voir le monde serein respirer et vivre.
Tel est le sens de la vie paisible
Qui s'étire comme long fleuve tranquille.


Braver le danger à chaque pas
C'est le quotidien de notre destin.

L'important est de se dire plus tard.
J'ai réussi pleinement ma vie sur le tas.
Et c'est par les hommes affranchis
Que tous les seuils sont franchis.

Re: Vers et poémes en vers libres.
15 août 2010, 12:20
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Re: Vers et poémes en vers libres.
18 août 2010, 05:50
J AI ECOUTE ALGER ALGER DE Lili Boniche et je me dis MALHEUREUSEMENT QUE CES GRANDES PASSERELLES SONT EN TRAIN DE TOMBER UNE A UNE
Re: Vers et poémes en vers libres.
18 août 2010, 08:46
En effet maiza, des pans entiers qui ne se reconstruiront plus.
Re: Vers et poémes en vers libres.
18 août 2010, 22:41
Au fil de l’eau

Jésus a osé franchir le gué

Ole OleEE….

Sans se mouiller, tout habillé
Il n’a pas perdu pieds
Suivis par ses apôtres un peu inquiets.
A cette époque bénie
La confiance était sacrée.

Ole Oleee….

Au fil du temps
Les hommes ont su éviter
Par crainte de se noyer
De se mouiller ou perdre pieds,
L’exemple du fils de D ieu.
Nul ne peut prétendre lui ressembler
Par les temps qui courts.

La la la la….AAAAA….§§§§

Il vaut mieux ne pas tenter le diable
Encore moins Satan ou Lucifer
Le genre humain à su créer
Passerelles, ponts, barges et barjots
Péniches avec niches’on est bien heureux.

Ole Ole….§§§§§

C’est bien plus prudent
Que de mettre sa vie en péril.

Depuis la nuit des temps
Tous les canards savent glisser au fil de l’eau
Sans jamais laisser leurs plumes
A la surface de l’eau.
Et sans jamais toucher le fond
Et perdre ainsi leurs pattes.
Seul Jésus et ses apôtres on pu
Aisément franchir sans périr
Et sans peine les eaux.

Ole Ole…§§§§§

Mais allez dire à tous les moineaux* (genre humain)
D’en faire autant.

Signe des temps, bcp de miracles pour les culs bénis
Et rien du tout pour les mécréants assortis.
Quant aux miséreux qu’ils aillent donc se mouiller.
Ole OleEEE…§§§


Re: Vers et poémes en vers libres.
19 août 2010, 13:07
Suite du récit

'...UN AMOUR HANDICAPE...!'


20°

Elle retourne à table…

-‘…Alors… ?’ Demande sa maman.
-‘…Il est fatigué me dit sa sœur mais demain, il viendra à la brasserie… !’
-‘…Tu vois tout s’arrange, tu t’es fait du mouron pour rien… !’
-‘…Je ne le crois pas et mon flair ne me trompe pas, demain, je verrais plus clair… !’
-‘…Nous aussi… !’Répond Ernest en passant au dessert.

Marianne est rassurée mais pas convaincue. Elle pense que sa sœur lui cache quelque chose et que sans doute, elle ne veut pas la mettre mal à l’aise. Elle quitte la table après avoir termine son dîner. Elle monte dans sa chambre. Elle se déshabille et s’allonge tout en ramenant le drap sur elle.
Elle cherche la cause de son rendez-vous manqué sans parvenir à en donner une explication logique.
Le sommeil la surprend avec ses doutes et avec l’espoir de le revoir demain. Elle aura sûrement des explications sur son empêchement.

Le lendemain, elle se rend à la brasserie, toujours vers le midi, avec la ferme conviction que Bernard viendra. L’envie de lire son roman la laisse indifférente. Elle commande plutôt un paquet de cigarette au barman, alors qu’elle n’a jamais fumée de sa vie. Elle pense que la nicotine va sûrement dissoudre son angoisse, apaiser son impatience enfin la calmer intérieurement. Elle n’éprouve pas non plus l’envie de déjeuner. Elle commande un café sans sucre accompagné d’une tartelette aux pommes. Elle grignote le bord de son gâteau puis se met à tousser sous l’effet de la clope. L’heure est passée et Bernard n’est pas en vu. Elle se lève et se rend à sa fac. Elle est déçue.

Revenons à Eva dont l’état de santé inquiète Sébastien son ami. Durant la nuit, Eva fut prise encore de vomissements. Des idées noires l’assaillent. Elle bave. Son compagnon, réveillé, tente de l’aider et pense l’hospitaliser aux urgences tout de suite. Elle lui fait comprendre qu’elle attendra demain ; elle veut dormir. Sébastien réfléchit sur la cause de son état alarmant et tente de lui parler..

-‘…Eva… ! Qu’est ce qui se passe, je ne comprends plus rien… ? Es-tu enceinte… ?’

Eva le regarde et lui fait un mouvement négatif de la tête…

-‘…Alors expliques-moi en deux mots cet état moribond… ?’
-‘…Bernard... !’
-‘…Comment... ?’
-‘…Bernard…?’
-‘…Quoi Bernard, c’est un ami à nous... ?’

A Suivre.


21°


Elle ne peut plus articuler un mot. Elle se rendort laissant Sébastien avec ce prénom qui lui est inconnu. Dans le flou le plus complet.

Bref, il tente de s’endormir en enlaçant son amie.

Eva, la belle Eva qui la veille encore se donnait à corps perdu à un muet consentant sous l’effet de sa drogue mais horrifié par la suite, qui l’a repoussée comme une traînée, se sent moralement et physiquement meurtrie par cet affront, qui lui cause une grande frustration. Elle, qui était si prête du but pour jouir intensément, comment se peut t’il, malgré tout son savoir faire, qu’elle fut rejetée comme un torchon aussi odieusement avec mépris qu’elle lue dans les yeux et crachat qu’elle reçue de Bernard. Eva n’a pu supporter de s’être traînée à ses pieds, d’être avilie de la sorte comme une malpropre, d’où son grand malaise et ses conséquences.

Au matin, alors qu’Eva dort, Sébastien appelle son père, le professeur Charles qui chapeaute le service des malades neurologiques à l’Hôpital Ste Anne de Paris.

-‘…Allô… ! Bonjour madame, je voudrais parler à mon père, le professeur Charles, s’il vous plait… !’
-‘…Il n’est pas encore rentré, Monsieur… ! Mais si vous souhaitez lui laisser un message, n'hésitez pas, il vous rappellera … !’
-‘…Bon, dites lui de me joindre au 01 45….. ! Merci…
-‘…Attendez, votre père vient de rentrer, je vous le passe, un instant… !’

A suivre…

Re: Vers et poémes en vers libres.
21 août 2010, 13:38
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LE LCL ET LES AUX TOMATES.

20 ans au LCL. Une grande fidélité.
J’en ai eu des conseillers, hommes et femmes dans cette grande institution.

Pour la plupart formés à la bonne école.
Une relation vraiment humaine, très conviviale et parfois j’échangeais, surtout avec les dames, quelques confidences intimes et même des anecdotes assez drôles.

LE LCL a perdu depuis un peu de son indépendance.
Quant en est t’il depuis bientôt dix ans. … ?
Les conseillers ont fondu comme peau de chagrin et aujourd’hui, les agences se retrouvent désertes.

Il y a bien un agent de sécurité qui tourne en rond mais un seul bureau ou deux pour recevoir les clients sur rendez-vous. Il faut passer aussi des SAS.

Puis petit à petits les dépôts de chèques ne se font plus en mains propres mais ils sont glissés dans une boite insipide. Et je ne vous raconte pas le nombre de chèques qui s’oublient d’être crédités.
Puisqu’il la décharge n’existe plus.

Bref, aujourd’hui, j’apprends que les services caisses ont disparu et ce sont des automates qui prennent tout en charge.
Étant novice dans la matière, j’ai donc demandé de l’aide pour verser l’argent de ma société.

Et là, j’apprends que la fente de la dévoreuse ne peut pas avaler plus de 1000 euros en grosses coupures sinon, elle la rejette.

Voilà donc la bonne aventure que j’ai eu dans l’agence Voltaire puisque celle du fbg est en travaux comme la plupart des autres LCL sur mon parcours.
Je rentre avec le reste du pognon à verser puisque la veille, ma grosse enveloppe me fut retournée pour cause de panne à mon agence habituelle.
Il est donc 8heures 45 et je pousse la porte de l’agence Voltaire. Personne.

J’ouvre ma sacoche et je jette un coup d’œil à droite et à gauche si dés fois, il n’y a pas un noir ou un arabe un peu louche. Je sors mes enveloppes au moment même ou rentre un malabar (carambar) de couleur.
Là, je remets mes enveloppes dans ma attache case et j’attends. Mais le malabar me regarde. Je le regarde. Le croisement des regards durent 1 minute. Je transpire et je suis mal à l’aise. Enfin, il s’éloigne un instant, il va dans un autre automate, je me sens rassuré.

J’ouvre une nouvelle fois ma sacoche et vite fait je compose le code de ma CB. Une enveloppe sort. Je la remplis de billets et je fais bouffer la fente. Un ticket sort. Je passe à la seconde enveloppe, idem. Je surveille cependant le noir. Je passe à la 3 iéme enveloppe au moment où je vais l’introduire, le noir vient vers moi. Je me dis ‘ Ca y est, il va me braquer. Puis, il me dit ‘…Dis moi ti sé comment ca marche cette merde… !’ Là, mon enveloppe s’arrête à mi chemin par la peur. Je pousse fort mon fric tant et si bien que l’enveloppe se déchire et donc ne passe plus, j’annule et je reprends mon enveloppe que je fourre dans ma sacoche.

‘…Pardon ??? Pour la machine, celle là est en panne, si tu veux, je viens t’aider dans l’autre… !’

Je l’aide et au bout de cinq minutes, il apprend la manœuvre. Il est heureux. Moi, j’attends qu’il sorte.

Il sort alors que rentre un arabe qui n’a pas bonne mine. Je sors dehors fumer une clope et j’attends.

Il est 9 heures 30 et je n’ai pas fini mon versement, enfin la mine pas très catho sort et je rentre pour achever mon versement. Ouf, tout est passé et je me sens rassuré, j’ai 4 tickets en mains alors qu’avant j’avais qu’un feuillet de versement. L’opération durait avec la caissière 10 minutes maximum. Sans avoir peur.

Dans cette affaire c’est que vous sortez votre argent sans aucune sécurité et vous êtes à la merci de n’importe quel malfrat.
Demain je fais une réclamation au sujet des AUX TOMATES.
Re: Vers et poémes en vers libres.
22 août 2010, 12:51
Je vous donne la recette du bonheur.

Écoutez donc la voix de BREITOU qui vient vers vous.

Le bonheur ne se peint pas.
Il se chante certes et s’écrit.
Il se vit certes mais pour le sentir il faut attendre.
Parfois un long délai.
Mais il existe.

Et lorsqu’il vous arrive vous êtes dans un état de plénitude.
En général il se ressent à l’approche d’un certain hiver.
Lorsque beaucoup de printemps, d’étés et d’automnes sont passés.

Écoutez la voix de Breitou, elle n’est pas théâtre mais juste mélancolique parfois.

Lorsque les saisons seront passées sans que ne surviennent tragédies, fél bhar, ou malheurs.

Le bonheur, c’est cette grande photo sans doute la dernière, comme une photo de classe mais sans élèves, entouré avec vos enfants et petits enfants et pourquoi pas avec vos arrières petits enfants.

Vous êtes là avachi, assis tenant une canne, votre vieille compagne prés de vous, les yeux baissés usés, d’avoir trop regardés, les rides pendantes mais dignes et le front ceint d’un beau fichu blanc.

Vos petits enfants sont assis devant vous et lorsque le photographe aura cliqué pour l’éternité ce joli décor, vous vous retournez et vous dites d’une belle voix sans doute éraillée…

‘…Merci mon D ieu, d’avoir traversé cette vie entourée par les miens, sans absence. Et tant d’épreuves. Et là je goute le vrai BONHEUR que D ieu me fait vivre… ! Merci MON D IEU de m’avoir épargné douleurs, souffrances et disparitions… !’

Ce n’est pas un secret mais juste une belle fin de vie bien remplie.
Je vous souhaite d’en arriver là car le BONHEUR il existe.
Alors si qq’un parmi vous sait dessiner le bonheur, qu’il me le dessine.

Ou qu’il le chante.
Re: Vers et poémes en vers libres.
25 août 2010, 12:54


EL ZÂÂR.
La chance.

On a tous besoin d’un brin de chance
Si infime soit t’il, fut t’il minuscule
Car c’est sans doute l’ouverture
De la grande porte.

Encore faut t’il connaitre
Le moment précis où il passe
Et quand il passe.

On dit qu’il flirte avec le bas des narines
Et que le moindre éternuement le fait fuir.
Voilà pourquoi je n’éternue jamais mais renifle.
Au cas où, par inadvertance, il passe.

La chance si grande soit t’elle
Peut être mal vécue, car de trop d’elle
Elle soulève les envies et les jalousies.

Alors si la chance un jour passe
Et que vous la reconnaissez
Prenez là et surtout prenez garde
De ne pas trop faire de bruits.

Et vivre en secret en sa compagnie
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