Vers et poémes en vers libres.

Sur EVA.

Eva est comme on le dit dans le jargon permis une paumée.

Sans repères. Une fêtarde mal dans sa peau qui se cherche.

Elle se drogue à l'insu de son amie qui bien sur porte en elle des valeurs morales.

Eva dés le départ montre une certaine attention envers ce jeune homme,
bien sur tous rapports. Sa jalousie va l'amener à échafauder un plan, un stratagème pour attirer vers elle ce jeune homme handicapé pense t'elle avoir un ascendant.

Une soumission et se l'accaparer de cette façon.

Profitant sans doute de son handicap, elle va mettre ses charmes en avant. Le seul moyen qu'elle trouve est de l'attirer sexuellement laissant de coté les sentiments purs.

Elle est fourbe. Ignoble.

Dans sa logique l'handicap de Bernard va jouer en sa faveur mais c'était sans compter sur la bonne éducation de ce jeune homme qui, une fois la drogue passée et ses esprits retrouvés se rend compte combien cette jeune femme est vile. D'où son dégout et surtout son malaise. Un malaise qui lui cause un traumatisme.

Il en ressort révolté, surtout trahi.

J'aurai pu bien sur ne pas rentrer dans les détails.
Tant il est vrai que la frontière entre l'érotisme et la pornographie
est mince.

La pornographie est surtout 'images' et voix.

Et comme je le disais plus haut, si l'écriture a dérapé elle n'est pas 'assassine pour la gente féminine.' D'un cas particulier, je n'en fais pas une généralité heureusement.

Je prie le lecteur de m'excuser pour ce passage qui n'était pas un passage obligé tant il est vrai que j'aurai pu tout simplement alléger
la description.

Salut les amis,

Il faut reconnaitre que grâce aux écrits de Bartou, ce site a ajouté + de 2025 visites, et que personne d'autre n'a pu réaliser celà en si peu de temps, sur un sujet ou un autre.
En attendant, on n'a pas encore reçu un avis d'un membre de Zlabia du genre féminin...Donc celà voudrait dire que tout va bien, et donc on continue..

Il semble que nous écrivons plus sur les évènements politiques, et à notre renouveau d'amitié avec les jeunes Algériens.
Ces derniers sont très intéressés à notre passé, car ils savent à présent grâce à l'Internet, que nous existions la bas durant plus de 2 millénaires.
Ils se demandent pourquoi nous avons du quitté l'Algérie, et pourquoi aussi nous ne les avons pas aidé à construire ce pays.
Alors que des millions d'autres Algériens ont quitté le pays après nous.
Ils sont très intéressés à nous pour quelque raison.
Il est vrai que beaucoup d'intellectuels voient aussi le "Juif" comme l "oiseau" qui se trouve sur l'épaule des travailleurs de mines.
Quand l'Oxygène diminue, l'oiseau s'ébat et meurt. Donc le mineur est averti que son tour de mourir peut arriver sous peu..

En un autre sens, quand la minorité Juive est attaquée dans un pays, il est presque certain que les autres minorités vont subir le même sort...

On a du remarquer que lorsque les minorités juives sont inexistantes dans certains pays, les dictateurs s'attaquent à d'autres minorités pour assouvir leur soif de pouvoir, et ils s'entretuent. Puis, ils blâment les Juifs ou Israël

Et c'est pour celà que les jeunes Algériens doivent comprendre que les Juifs ne veulent plus être les "boucs émissaires", et doivent se défendre d'eux mêmes, sans ne plus compter sur un dictateur, un président ou un autre, ami ou ennemi des juifs. Et que l'Etat d'Israël est la seule solution valide. Malgré que certains ne soient pas d'accord, que chacun doit se défendre, et que parfois l'attaque est aussi la meilleure défense.

En fin de compte, il faut rebâtir l'amitié que nous avions connu entre les communautés.

Aussi, Bartou,a amené une oeuvre, un autre sourire, qui vient de la Tunisie et sûrement moins contraint que le nôtre...
A part le 17ème étage, il n'y a pas eu de glissade.. Et pour sûr, nous avons tous eu nos soudains moments à maîtriser.

Et puis, qui d'entre nous est parfait...

Amicalement,


Abraham.

Bonjour chers amis,

Je suis très matinal.

Je viens de prendre connaissance de l'écrit du sage Abraham.
Et cela m'émeut tant il est vrai que j'ai voulu apporter ici un peu d'ambiance? du mouvement afin que rien ne soit figé.
Comme je le fais ailleurs.

Je suis un vieux monsieur d'ambiance, du changement d'atmosphère, de la joie et de l'émotion.

Entre les vieux cimetières et notre nostalgie, j'ai voulu apporter ma contribution d'enfant de Tunis.Partager avec vous quelques sourires, quelques peines bref quelques nouvelles.

Sans aucune arrière pensées.

Abraham a compris le sens de ma démarche.

Nous formons une grande chaine humaine et rien ne doit séparer, briser, casser ce que juifs et musulmans de tous les pays ont vécu et crée ensemble dans nos anciennes patries respectives.

Bien que des évènements malheureux nous ont fait choisir des pays qui ne sont pas les nôtres, nous sommes restés attachés à notre ancienne patrie par l'esprit.

Ces séparations et déchirements ne doivent pas occultes notre passé.

Chacun de nous a son Mektoub, sa destiné et nous ne pouvons pas y échapper, ou prévoir les évènements, nous les subissons.

Et lorsque nous disons BAROUKH ACHEM ou Hamdoullah, entendons par là que nous remercions D ieu d'être là, en vie à perpétuer notre mémoire pour les jeunes générations.

Oui, nul n'est parfait mais nous pouvons rendre le monde parfait si la bonne volonté est là et surtout l'amour du prochain.

Merci Abraham d'avoir eu de la clairvoyance.

Je continuerai à vous entretenir dans l'avenir de ce que j'ai appris à faire le mieux, m'enchanter et vous enchanter par mes écrits même si certains veulent zapper.

La petite ou la grande culture ne doit jamais être zappé car se serait faire preuve d'ignorance.Et l'ignorance freine l'enrichissement culturel.

Zapper c'est presque du mépris et le dire est de l'irrespect.



RM.

Bonjour,
Tout d'abord, je ne manque de respect à personne, j'ai trop d'humilité pour avoir des sentiments aussi bas.
Ensuite, j'espère ne pas mépriser mon prochain, car enfin je n'ai pas la prétention d'ètre au dessus des autres.
Enfin, ma culture ne peut ètre mesurée aux simples interventions sur ce site.
Et pour conclure, afin que vous ne Zappiez pas, si je suis ignorant, je suis comme l' Ane, et donc j'ai aussi ma place dans ce monde.

Un ignorant, méprisant, inculte et irrespectueux, vous envoie son amitié que vous aurez top fait de me renvoyer.
D .

Le Lion devenu vieux

Le Lion, terreur des forêts,
Chargé d'ans et pleurant son antique prouesse,
Fut enfin attaqué par ses propres sujets,
Devenus forts par sa faiblesse.
Le Cheval s'approchant lui donne un coup de pied ;
Le Loup un coup de dent, le Boeuf un coup de corne.
Le malheureux Lion, languissant, triste, et morne,
Peut a peine rugir, par l'âge estropié.
Il attend son destin, sans faire aucunes plaintes ;
Quand voyant l'Ane même à son antre accourir :
"Ah ! c'est trop, lui dit-il ; je voulais bien mourir ;
Mais c'est mourir deux fois que souffrir tes atteintes. "



Je ne tiens rancune à personne.
Bien au contraire.
Je vous apprécie.
Croyez moi ou pas.
Challom.

Salut Bartou,

A votre poème vous auriez pu ajouter un petit peu d'"érotisme" turbulent, pour prouver que vous êtes toujours bien en vie..!:-)
Pourquoi ne vous ressentiriez vous pas aussi viril que "Bernard", mais avec la parole en sus..!?

Il ne faut pas croire que notre âge, rendrait moins fort, moins agressif, ou moins viril... Tout est dans la tête..
Au contraire, on se sent toujours avoir 20 / 30 ans, 40/45 ans au max.,physiquement. et les prouesses et ressources n'en sont pas moindre.
Ainsi que les autres circonstances harmonieuses, et relations, ne doivent pas être éliminées de la vie pour pouvoir vivre l'amour "jusqu'á 120 ans" (Ad Méah v'Essrime).

Tout comme notre cher Roi et sage d'Israel: Chlomo Hamélekh (Roi Salomon) nous l'a déjà bien prouvé, et enseigné, de par ses écrits si riches et ennivrants d'amour divin, et d'aventures terrestres!

A plus,

Abraham

Bien sur que j'aurai pu ajouter un peu d'érotismes 'turbulent' mais ici, je deviens frileux à présent.
Des vers coquins j'en ai bien sur mais ...Bon...Enfin.
Pour le reste, il y a un temps pour tout.
Des moments de pause pour la chose en attendant l'andropause.
.

En tout cas, j'aime ce qui est vivant et cette rubrique nous en donne l'occasion. Il faut sortir des sentiers battus et nous sommes tous capables de mettre de la joie et de la gaité chacun à sa façon.
RM.

Ah Ah Ah…
Rani ââ’chac blédi,
Ah Ah Ah…
Aâ’chac eye e’wé’é.
Mssafar él blédi
Mech’moun mébin gerni.
Maw’ja fi oud’ni
Rac’ha fi dé’créyèti
Mra’ouah e’ zour zémiléti
Oueled hak’el’ouédi.

Je suis amoureux de mon pays,
Je suis amoureux oui de son air
Je voyage dans mon pays
Mon jasmin entre mon oreille.
L’écho de son écume dans mes ouïes
Repose au fond de mes souvenirs.
Je pars visiter mes amis
Les enfants de ma goulette.

Tounes el khadraAAA
§§§§§ Ah Ah Ah….
Blédi ye BlédiIII,
Dimé fi jorti
Ou fi tokh’mémi.
Ah Ah Ah…
Ah yé rabi,
N’da’car blédi
Allaisch yé khé’oué’ti
Mchit ou khélit tac’ssi.

Tunis la verte
Ma ville, Ma ville,
Me suit de partout
Et dans mes souvenirs ;
Ah mon D ieu,
Je me rappelle de mon pays,
Pourquoi chers frères,
J’en suis parti et laissé mon beau temps.

Loucen hab mouléne
Rani mssa’far, yé omri
Jeyi, yé calbi, mél bléd
Ténia elli khtart’a
Ezzet’ni yé Salwa.
Ouéni mssa’far yé rou’hi
En zour baba l’âass’li.
Eli racéd taht é lard.
Yerham él ouel’din.

Si le tout puissant le veut
Je voyage mon âme.
Je viens, mon cœur, du second pays que j’ai choisi
Elle m’a pris mon cher Abraham.

Je voyage mon cher,
Et rendre visite à mon papa le doux.
Qui sommeille sous terre.
Que D ieu bénisse les âmes de nos parents.

La goutte qui fait déborder le vase
Et mouille la nappe, la table.
Celle qui parfois met le feu aux poudres
Et fait dire n’importe quoi
Lorsque sourde est la colère.

La Goutte qui bloque
Les articulations et tout s’enflamme.
Mon corps porte la goutte
En haut en bas, sur mes os, elle coule
Je la traite l’hiver venu et me maltraite
L’été aussi.

La Goutte ruisselle sur la vitre
Et pleurent mes carreaux.
La Goutte j’égoutte
Dans l’égouttoir les spaghettis
Que je goute et re-goutte.

La Goutte par trop d’ chaleur
Sur mon front, je l’éponge.
Elle suit le corps du soda
Et je l’essuie.

La Goutte sur mon visage
Suit mes rides sur son chemin.

Et la Goutte celle qui donne la vie.