Zlabia.com Le Rendez-vous des Juifs d'Algerie





Vers et poémes en vers libres.

Envoyé par bartou 
Re: Vers et poémes en vers libres.
19 mai 2010, 00:06
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Re: Vers et poémes en vers libres.
19 mai 2010, 11:47
Je vous invite à suivre la nouvelle '...L'oublié...!'

Merci.
Re: Vers et poémes en vers libres.
19 mai 2010, 11:49
Du bébé qui ne dit rien
Le vieux chuchote
L'éternel refrain.
Depuis la nuit des temps.

Les mêmes mimiques
Celles du sourire.
Sourires fantastiques
Langages qui ne s'appauvris.
Simples comme le veut la vieille tradition.

Perpétuels cadeaux
Avant ses premiers mots.
Comme le veut la nature,
Belles compensations.

Gabriel –David* dans ses couches
Ne sait encore rien dire.

Il observe avant de se lancer.
Secrets de bébés.
Qui écoutent, discernent, trient avant
La grande discussion.

Balbutiements
Prendront cohérence.

Le temps du bébé passe.
Celui du vieux avance.
Puis disparait.


*Mon second petit-fils né le 1/3/2010.
Re: Vers et poémes en vers libres.
19 mai 2010, 12:25
Comme de bien entendu, elle a blanchi.

Anecdote presque vraie.

Petit rappel pour les présents et tant pis pour les absents.

Je commercialise comme tout le monde le sait ailleurs et pour les vaillants d'ici et les inconnus à venir, des produits de magie etc...Poudres de retour d'affection, d'éloignement, d'amour etc...

Plus de 125 articles en poudre importées d'Haïti qui passent par la Hollande. Un label de qualité.

Ces poudres sont pour la plupart de différentes couleurs et notre travail consiste à les peser et à les ensacher.

certaines d'entre elles ont presque le même coloris, à une queue de cheval prés, au galop.

Il y a une semaine, lundi dernier, je réceptionne donc 15 kgs de poudre avec bien sur la désignation.

Je donne les sachets à mon employée pour les ensacher dans de petits sachets et les étiqueter. Sachons déjà que le grammage doit être correcte.

Voilà que pendant mon absence, ma journée de congé, le mardi suivant, mon frère réceptionne un autre kilo de poudre dont je tais le nom et pour cause...

Rentre dans ma boutique mercredi dernier, une belle dame africaine de bonne corpulence et de facture incertaine, .

Elle me demande bien sur un poudre d'attirance d'amour, la couleur est bleue marine.

Je donne instruction à la demoiselle de la servir, ce qui fut fait sur le champ.

Quatre jours plus tard, soit ce lundi, alors que je fumais tranquillement à l'ouverture de ma boutique, rentre une dame que je n'avais pas reconnue sur le champ mais qui après qqs hésitations me dit..

'...Vous me reconnaissez...?'
'...Par la forme oui mais le visage...!'
'...Je vous ai acheté la semaine dernière la poudre d'amour...!'
'...Ah oui, je me souviens...!'
'...Et bien figurez vous, elle m'a blanchi drôlement, et je ne sais pas comment vous remercier, même mes cheveux ont jauni..!'
'...C'est pas possible, vous étiez noire charbon et là, vous êtes devenue café crème...!
'...Je veux encore dix sachets de cette poudre...!'
'...Mais je ne comprends pas, vous êtes un cas exceptionnel, personne n'est venu me dire que cette poudre d'amour rend blanc...!'
'...C'est un miracle, je vous dis, j'en veux encore...!'

Là, je suis perplexe parce que la chose est impensable et bien sur, je vais lui chercher ces dix poudres lorsque je me rends compte que la poudre mise en sachet, ne ressemble pas, mais pas du tout à la poudre d'amour originale...! Bleue marine alors que celle là, que je vois suspendue est d"un bleu pâle...!'

J'appelle mon employée et je lui pose la question.
Elle me répond qu'elle a ensachée aussi la poudre que mon frère lui a avait donné et qui ressemble à peu près à celle de la magie.

Je contrôle les factures et là, je me rends compte qu'un fournisseur avait livré, le lendemain de la POUDRE DÉCOLORANTE BLEUE que mon frangin avait posé sur le plan de travail, avec les autres poudres.

Le mystère était éclaircit, la jeune Fatma dans sa précipitation avait ensacher aussi la poudre DÉCOLORANTE BLEUE croyant qu'elle faisait partie du lot. D'où l'erreur.

Lorsque je m'excusais envers la dame de cette bévue, elle me répondit...*

'...Je veux mes 10 SACHETS...!'
'...Mais vous allez devenir blanche comme les norvégienne Madame...!

'...Ça fait 35 ans que je cherche à changer de couleur, j'ai dépensé une fortune, utilisée mille produits sans que rien ne vienne changer ma peau et là je tombe sur une poudre qui blanchit alors là je ne sortirai d'ici qu'avec mes 10 SACHETS..!'

Point barre.
Re: Vers et poémes en vers libres.
20 mai 2010, 02:17
Pour votre petit déj.

Hier, un monsieur noir d’allure modeste, cherchant ses mots me demande…

‘…Avez-vous des postits, Monsieur…. ?’
‘…Oui, de quelle couleur… ?’
‘…Noirs… !’
‘…Noirs… ? A ma connaissance, il n’y a pas de noir dans les postits, rose, jaune, vert mais pas noirs sinon on n’y verrait que dalle… !’
‘…Ah bon… ? Pourtant ma femme Fatwa elle m’a demandé cela… !’
‘…Elle doit se tromper dans la couleur… !’
‘…Attends, je l’appelle… !’ Il l’appelle….
‘…Fatawa, ti es sur que les postits sont noirs… ?’ Tu veux parler avec le monsieur… ?’ Elle veut vous parler… !’
‘…Bonjour madame, nous n’avons pas de postits nois madame… !’
‘…Des postiches noires, pas postits… !’
‘…Ah ca change tout dans ce cas, donc des postiches noires, ok, je vais lui donner… !’
Monsieur des postiches pas postits… !’
‘…Bizarre les femmes, à la maison elle me dit postits et maintenant postiches, elle me prend pour un con… !’
‘…T’es pas loin de l’être… !’

Re: Vers et poémes en vers libres.
20 mai 2010, 03:01
Après tout bannir le coca de la table n’est pas mortel.
Au vu des dégâts qu'il cause à l'organisme selon un article paru dans certains périodiques bien établis.

Cependant, il y a les sirops antitussifs, je tombe là aussi sur un article suspect du Figaro.

Donc des composants de certains sirops sont à base de bave d’escargot… !!! Kacher ou pas… ?

Depuis ma tendre enfance, le seul médicament que ma grand-mére Meiha conseillait à maman de me faire boire avant toute pharmacopée, c’est la cuillère d’huile d’olive pure avec du citron et du miel. Lorsque la toux se faisait grave.

Plus tard, la gamme des sirops a fait son apparition.

Et voilà qu’aujourd’hui, et ce n’est qu’un début, les langues savantes se délient pour nous avertir des précautions à prendre. Ce n’est qu’un début, attendons la suite, les suppôts que nous enfilaient pour baisser les fièvres et autres cachets qui ont fait le bonheur des étagères de nos petit cartons pharmaceutique ne sont pas si innocents.
Avant on ne nous disait pas tout aujourd’hui tout se dévoile.

Ce n’est que le commencement d’un long processus qui ne compte pas s’arrêter là.

Donc si aujourd’hui nous sommes victimes de qq chose, et bien la faute de notre mauvaise santé revient à tous ces breuvages bus sans connaissance des choses.

Même le lait parait t’il n’est pas innocent pour notre santé et du lait j’en ai bu des hectolitres.

Voilà pourquoi aujourd’hui, je ne me sens pas bien. J’ai la goutte, les hémorroïdes sèches, les couilles un peu molles, le zizi chancelant, le cœur sous pression, mes varices proéminentes, plus de tifs, les ongles qui se cassent malgré les jus de carotte et les fromages de brebis et de vache qui rit mais celle là, elle peut toujours rire, je vais lui passer un savon laiteux, mes neurones sont parfois hésitantes et même mon esprit est dans le vague, que me reste t’il… ? Un peu d’argent pour me soigner au noir.

Je paye mes déboires par la faute de tous ces médecins goulettois non vigilants pour notre santé.

En France, ils sont plus prévenants, avant de me prescrire un médicament hormonale, mon médecin traitant me demande de faire des radios des poumons, un scanner, une biopsie, une prise de sang bref tout saut une couillographie. Pourquoi n’ais je pas le droit de faire une couillographie, pourtant la CPAM envoie bien chaque année à ma femme une MAMILIGRAPHIE pardon une MAMOGRAPHIE, je vous le disais, mon esprit n’est plus à sa place, je confonds tout et je passe pour un bim vêtu d’habits.

Je vous le répète, si vous voulez vivre longtemps, et je m’adresse à la génération future parce la notre est niquée, revenez à la bonne médecine arabe, elle sert à quelque chose et jamais elle ne peut être traitre. CATAPLASMES, HUILES, ONGUENTS à base d’ingrédients naturels oui mettez vous au vert. Sinon vous risquez plus tard ce que nous avons.

LA MERDE DANS NOS CORPS.

Comme il me reste quand même encore 45 ans à vivre au moins, je vais prendre mes dispositions pour éviter de mourir par toutes ces saloperies.

POUR VIVRE LONGTEMPS MANGEZ LARGE.




[www.lefigaro.fr]
Re: Vers et poémes en vers libres.
20 mai 2010, 04:03
J’aime les belges, ils sont moins cons que les suisses.

Les belges sont les héros des histoires belges, les suisses sont des ‘fricotiers’ et non pas d’histoires sauf qu’ils ont détournés l’argent des juifs, victimes de la barbarie nazie.
Toujours dans le secret, ils se sont fait entubés, y’a pas si longtemps, par un aigre fin, un employé qui a balancé toute une liste de gens malhonnêtes au fisc français.

Je suis par contre tombé sur un BELGE CON directeur d’une grande banque Suisse la SBS.

Monsieur VANDERBERG, dont j’ai eu la grande joie de connaitre et surtout d’être bien reçu dans sin grand bureau, au premier étage de son building à Genève. Au vu de ce que j’allais déposer chez lui.
Les directeurs de banque sont toujours aimables lorsqu’ils apprennent qu’un nouveau client fortuné vient chez eux déposer une mallette de flouss. Après le dépôt vous n’est plus qu’un numéro insipide.
C’est un peu comme pour une femme que l’on désire ardemment et qui lorsqu’elle vous tombe dans les bras, elle n’est plus qu’une chose pour ne pas dire autre chose.

L’homme est ingrat, peu délicat et peu reconnaissant. Heureusement, qu’il y a des femmes intelligentes et qui ne sont pas sottes pour se faire entretenir avant, ensuite pomper après. Comme cela, elles ne passent pas pour des femmes de passage. Et de repassage.
Donc, nous bavardions ensemble dans son bureau, et bien sur, il m’apprend qu’il est belge.

Bizarre, un directeur BELGE dans une BANQUE SUISSE, ce n’est pas courant, surement que la SBS pour diversifier son personnel a choisi un BELGE SANS HISTOIRES. Et surtout pour ne pas montrer qu’ils sont racistes, parce que les SUISSES ne le sont pas, au contraire voleurs , escrocs mais pas racistes ni fumistes. Moi je dis qu’ils le sont.

Je dépose ma mallette d’argent durement gagné en Tunisie et reconverti au fil des années en francs, parce qu’à l’époque, la législation en vigueur en Tunisie ne permettait les transferts de fonds, tous les juifs tunes le savent, sauf les ministres tunisiens, le chaouh qui a des relations, les chefs d’état et leur femme qui ont liberté de tout envoyer à l’étranger même leurs enfants dans les grandes écoles , payés au frais de l’état.

En France, ca ne se passe pas comme cela, les ministres sont honnêtes et ils ne sont en rien avantagés sauf que d’avoir plusieurs petits appartements de fonction, une bagatelle au regard de ce qu’ils touchent. Des commissions occultes, des petits procès médiatiques qui se noient dans la bureaucratie, des condamnations avec sursis pour quelques millions d’Euros détournés. Une broutille au regard du petit salarié qui lui doit rendre des comptes si son train de vie a baissé.

Bref, 250 234 frs d’époque sur son bureau et lui dit tout de go, que cet argent en billets de 500 frs ne provient pas des recettes de la drogue encore moins de la prostitution mais un pécule économisé depuis 25 ans. Grâce à mon travail, à la sueur de mon front.

Il me croit et me dit

‘…Je n’en doute pas au vu de votre profil… !’
‘…Ah bon, mon profil vous parez honnête alors… ?’
‘..S’il ne l’était pas, je n’accepterais pas ce fric… !’

Quel humour ces belges. Un SUISSE serait remonté bien loin dans ma généalogie pour voir s’il n’y aurait pas un vice de forme dans mes déclarations.

Il appelle un subalterne et nous voilà en bas dans la salle des coffres. Un palais blindé.
Il met sa machine à compter et trouve bien la somme annoncée, en ma présence.

Puis, nous remontons et là, le directeur me remet un reçu de caisse. Une belle feuille que j’aurai pu encadrer, comme un diplôme.

Il me propose divers placements et comme je ne comprends rien, je le laisse faire et lui qu’il a toute ma confiance mais qu’en aucun cas, il ne doit m’appeler chez moi en Tunisie, ni m’envoyer un relevé.

Sauf d’adresser tous documents ou courriers à mon frère résident à Marseille.

Il me rassure et là, il m’établit un cinq minutes un listing des valeurs à acheter avec des rendements conséquents, lucratifs, de quoi doubler mon capitale en 8 ans.

I tiyah sââdou amin,( que sa chance tombe) mon capital qui était censé doublé en 8 ans, s’est rétréci du tiers des années plus tard lorsque je m’étais installé à Paris.

La somme s’est rétrécie, un solde créditeur de 235 021 FRS. Soit une belle perte en 5 ans.

Lorsque je lui faisais la remarque 5 ans plus tard, il me répond ‘…LE MARCHE… !’

‘…Le marché aux pommes, aux poires ou au prunes… ?’
Gbar ou jébènna ye mouléna. Néq’ni.

En sortant, je me suis adressé tout penaud à D ieu en lui disant, ‘…Tu vois D ieu, j’ai cru bien faire en venant chez d’honnêtes petits SUISSES mais là j’ai mal fait… ! Est-ce que tu peux arranger la chose… ?’
J’attends à ce jour la réponse.
Mais grâce à lui j’ai compris que les cadeaux ne sont pas divins, les miracles oui et qu’il faut les mériter et j’ai mérité mieux que le fric HAMDOULAH. BAROUKH ACHEM.
A Suivre ….Dans le facteur.
Re: Vers et poémes en vers libres.
20 mai 2010, 10:40
LA SUITE...LE FACTEUR...


Après avoir placé mes quatre sous bien au chaud, du moins c’est ce que je croyais, voilà que six mois plus tard, alors que j’avais donné des instructions au con de directeur belge, j’entends la porte de la maison ( celle de la Goulette) frapper vers les 10 heures du matin, un samedi.

Une voix que je reconnais à travers le grand portail bleu, c’est le timbre du facteur Hamouda. Célèbre facteur, l’homme à la bicyclette. J’ouvre et il me tend une lettre, une grande enveloppe avec comme en tête le nom de la banque en grand et en gras. Je regarde Hamouda et je lui dis mais elle n’est pas à moi… !’ Aâjéb… !’ Qu’il me dit ‘…Albert, c’est toi non…. ?’ ‘..Oui mais des Albert, il y a en trois dans ma rue… !’ ‘…Siméoni… ?’ ‘…Pas possible… !’ Mon visage était devenu pâle, bakhara, couleur soufre, au vu du pli qu’il me tendait. Dois-je le prendre ou ne dois-pas le prendre. Hamouda él boustagi attendait, un pied sur la première marche et l’autre sur la sol.

Je lance qqs regards furtifs dehors afin de vérifier si par hasard, une voiture suspecte n’est pas garée. Au plus, me suis-je dis au cas, où des inspecteurs s’aviseraient de descendre et me surprendre, je déchire le pli en un rien de temps et je bouffe le principal en ayant pris le soin de fermer la porte à double tour.

Rien à l’horizon, je prends le pli et fissa fissa, je me cloitre.
J’ouvre la grande enveloppe et bien sur, je trouve tout un linsting de valeurs boursières. Bien aligné.
Je pique une colère interne que je maitrise. Et sans plus attendre, je me prépare à déchirer le tout en mille morceaux lorsque soudain j’entends la porte frapper. Alors là les amis, mon cœur tressaute.
C’est eux, je suis cuit, bonjour le trou noir du commissariat, les questions et les coups.

En plus, je suis juif donc double ration.

Je me vois le visage en sang, les pommettes fendues, l’œil pendant mais pas avant mais après, les dents cassées, bref la torture en bonne et due forme pour avouer sur pièces le délit.

Je laisse frapper tout en déchirant le pli à une vitesse vertigineuse. Je réfléchis à la manière de broyer le listing et je pense mettre le tout dans le fond de la cuvette du wc et tirer la chasse. 1 kg de papier à faire passer en un seul coup. Les coups sur la porte redoublent, la chasse est tirée mais voilà que par le volume du pli, l’eau et le listing se sont un peu gonflés faisant ainsi monter l’eau au ras du bord de la cuvette. Je suis mort. Pour aider la chose, je plonge ma main dans le tas de papier tout en retirant la chasse. Une partie semble passer tandis qu’une autre monte vers le haut inondant tout mon bras, je remets ma main et re-retire la chasse, là tout passe à mon grand soulagement. Avec ma sueur qui perlait au dessus de la cuvette.

Je remercie les saints juifs de m’avoir aidé et je vais ouvrir la porte.
C’était maman qui revenait avec son couffin.

‘..Winec… !’
‘…Cent fél krââ… !’ J'étais dans le merde.

Le lundi j’appelais Monsieur le directeur d’une cabine téléphonique pour lui faire la remarque sur cet envoi qui a mit ma vie en danger.
Il me dit tout connement…

‘…Avez-vous une autre adresse en Tunisie… ?’
‘…Oui Monsieur, le cimetière du Borgel… ! La tombe de mon père… !’

Depuis, les courriers allaient chez mon frère à Marseille.

Re: Vers et poémes en vers libres.
20 mai 2010, 10:50
SUIVEZ LA NOUVELLE '...L'OUBLIE...!'
SIMON ET SHIRLEY.

Merci.
Re: Vers et poémes en vers libres.
21 mai 2010, 10:30
merci bartou pour ces textes je me suis fait plaisir à lire, moi qui n'aime pas lire, je me suis régalé. Continu ne t'arrête surtout pas à en envoyé d'autre
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