Zlabia.com Le Rendez-vous des Juifs d'Algerie





Vers et poémes en vers libres.

Envoyé par bartou 
Re: Vers et poémes en vers libres.
16 juin 2010, 20:09
Biber mon frere un mariage un peu special et on peut etre sur que le jeune marie aura un beau pere tres special !
Re: Vers et poémes en vers libres.
21 juin 2010, 12:36
Merci Goerges pour tes bons vœux.
Oui un peu spécial qui s'est merveilleusement bien passé.
J'étais un peu spécial Tawfic ce jour là, crois moi.
Re: Vers et poémes en vers libres.
22 juin 2010, 10:45
Récit imaginaire raconté par Bartou.

Suite et fin.
L’Oublie...XIII.



A 99 ans, Simon vaquait de moins en moins à ses occupations. Ses forces l’abandonnaient peu à peu.
Ses allées et venues au centre le fatiguaient. Mon fils, Breitou le remplaçait tous les jeudi et le dimanche sur la scène quand il trouvait le temps.

Mon aînée avait 20 ans et Breitou 17 ans. Ils couchaient à tour de rôle dans le studio. Le jour, une femme de compagnie s’occupait de lui.
J’étais souvent près de lui et il peinait à parler. C’était donc moi qui lui faisais la causette.

Un soir, il demanda à nous voir, tous ensemble. Ce qui n’était pas dans ses habitudes. Nous redoutions le pire. Mes enfants étaient assis au bord du lit. Patrick, mon mari me fit comprendre qu’il était à bout et qu’il préjugeait du pire.

Simon essaya de se relever sur son oreiller. Je l’aidais tant soit peu. Il regarda mes enfants et leur demanda de chanter pour la dernière fois le poème...


Etre grand-père.... !

William de sa belle voix commença à chanter....


Papy… ! Papy. ! /Être arrière grand-père/Pour la première fois, quelle joie.. !
Toi qui a tenu tant de petits fils/Dans tes bras, tu fus bien servi... !

Tu nous a imaginé, courir, comme le faisait autrefois maman chez vous... ?/Et nous faufiler entre les tables de notre maison/Ou dans les fêtes, les mariages, les bar-mitvahs, à la syna.. ?/Mon D ieu ... ! Papy… ! Comme tu es beau… !


Patrick sanglotait en silence.
Breitou mon fils reprit derrière son frère...Il était très ému.



Tu nous as suivis et tu as couru, après nous/Pour nous prendre dans tes bras durant la musique/En présence des convives les yeux boukhèiques/Ivres de chants, de danses et brûlent les chandelles.

Être arrière Grand-Père …Papy... !/C’était guetter nos pas dans le hall
Et nos voix à travers la porte./Et tu disais ’...C’est nos enfants ... !..Shirley… !’




Et la magie s’opèrait…



Guislaine…Mamy... !Toutes les fois que je fais un poème/Sur eux, je larmoie, sans doute par trop d'amour...../ Merci MON D IEU.


Je me retenais pour ne pas pleurer. Il attendit la fin du poème pour fermer les yeux pour toujours, tout en regardant mon mari, ses yeux larmoyants.

Papy Simon s’en est parti.

Nous le veillâmes toute la nuit. Il reposait sereinement dans son lit.
Le lendemain, je faisais part, au centre de l’hospice de la fin de papy Simon.
Nous étions dans son studio, quand j’entendis la clochette du portail sonner.

J’allais voir et là, quelle ne fut ma surprise de voir tous ces vieux compagnons rentrer à la queu leu leu, les uns trottinant péniblement, les autres pousses par leurs aides. Patrick les installait aux abords du grand studio. La femme de ménage leur prépara des boissons.
Chacun à leur tour, ils allèrent embrasser le front de leur ami allongeait le visage serein.

Ils attendirent patiemment l’arrivée du corbillard.
Et là quand ils virent sortir le cercueil, ils se levèrent comme un seul homme pour chanter d’une voix monocorde...



‘.....Il y a quelque chose qui change/Lorsque Papy s’en va ! Tout semble très lourd /Par le départ d’un pépé..... !’ ...§§§§§§§§§§....}
.....Après nous avoir fait la fête/Nous allons nous prendre la tête sans retenue/ Retenir nos peines sans chahut....§§§§§§§§§§§§.....
.... Notre chagrin sera toujours immense/ Il passera sûrement avec le temps/ Mais jamais nous ne t’oublierons /Dans notre foyer, à tout moment/Ils rentreront tes petits-enfants/ Pour te chanter Simon...§§§§§§§§§§§§§.

Au cimetière, plus de mille personnes rendirent un dernier hommage à mon papy Simon.

Il m’a fallu aussi, plus tard, répondre à une centaine d’emails venus du monde entier...

Quelques semaines plus tard, la direction du centre, m’invitait pour rebaptiser la salle du nom de ‘...LE PTB DE SIMON...’

Sur sa tombe, on pouvait lire....

‘.....Il y a en chacun de nous un Simon qui vit toujours... !R.M...’ smiling smiley smiling smiley smiling smiley

Fin.[/color
Re: Vers et poémes en vers libres.
22 juin 2010, 23:22
J'espère que le récit L'oublié vous a passionné.
Le dernier épisode est passé hier.


L'ENSEIGNE.


Dans qqs jours, notre conseil d’administration, mon frère et moi, va prendre une décision importante à savoir changer la dénomination de notre enseigne.

En effet, une proposition lui sera soumise.

Après avoir étudié sérieusement la chose, nous allons dénommer notre enseigne ‘…La boutique de l’AN CENT…. !’ On entend donc par là ENCENS. Pourquoi une telle décision… ? Parce nous nous sommes rendus compte que l’encens occupe plus de 80 % de notre espace réel et que les odeurs débordent sur le boulevard.

Certains commerçants font de la pub à coups de contrat publicitaire alors que chez nous, les bonnes senteurs font rentrer les passants qui trouvent plaisir à flairer.

Une fois dedans, là, ils sont la surprise de trouver d’autres articles assez cocasses et drôles. Et beaucoup s’étonnent de notre GÉNIE, pouvoir commercialiser cosmétique, ésotérisme et aphrodisiaques. Une fois le client guidé par son odorat, il franchit la porte, une jolie employée toute glamour le prend en main avec tact, elle lui fait découvrir avec habilité ce que nous proposons afin de lui fourguer une crème éclaircissant alors qu’il est BLANC DE CHEZ BLANC. Il ressort par moment avec une bible, une poignée de préservatifs, et comble du bonheur un toys en plastic assez amusant.

Certains clients peuvent rester une heure à visiter la boutique, un espace de 80 m2. Soit 5 minutes par vitrine.

Il arrive aussi au vu des affiches placardées en haut de notre enseigne qu’il pense que c’est un lieu de culte. Nous changeons de musique pour lui faire entendre des arrangements musicaux religieux.
Surtout Grégorien.

Notre métier est de reconnaitre l’orthodoxe du bon chrétien, du juif du musulman et ainsi de suite.

Donc à chacun sa partition et ils trouvent à priori une certaine satisfaction de voir que les trois religions sont représentées avec gout.

Notre employée qui est musulmane a été formée pour répondre à toutes les questions sans hésitation. Et surtout de ne jamais hésiter au point qu’elle invente des trucs qui n’existent pas.

L’important est de satisfaire la curiosité de son interlocuteur. A deux femmes en burka qui s’étonnaient de voir le CORAN dans un magasin ‘inapproprié’ elle a eu cette réponse magnifique ‘

‘…Mes sœurs, regardez dehors, tout le monde se côtoie et les gens paraissent heureux. Dans un métro, chacun à sa place donc pourquoi pas chez nous… ?’

Satisfaites, elles ont demandé seulement que le CORAN soit mieux mis en évidence, ce que notre vendeuse a fait en leur présence et dés qu’elles ont eu le dos tourné, les livres ont repris leur ancienne place.

Elle aussi prit soin de ne pas les laisser s’approcher de la vitrine qui n’est pas HALAL. Pour ne pas les offusquer. Tout est question de tact. Elles ont eu droit pendant leur court séjour dans notre magasin à un refrain de musique religieuse, la voix d’un imam. Ce qui les a rendus heureuses par cette délicatesse.

L’important chez nous est d’être tolérant.

Même si la mezzouza est cachée d’entre les interstices de la porte d’entrée.

Re: Vers et poémes en vers libres.
24 juin 2010, 12:52
PROCHAIN RÉCIT.




Tous les évènements cités dans cette nouvelle sont imaginaires.

UN AMOUR D'HANDICAPE.



‘…Il n’est nullement besoin parfois d’exprimer son amour par des paroles.On le devine aisément à un regard à un geste appuyé ou à un signe du destin… !’Albert.

Dans les principaux rôles…

Bernard Chartier…….Bernard Laffont le muet.
Michèle Zerbib …… Désiré Laffont, la sœur de Bernard.
Christian Amelin……Georges Laffont, le papa de Bernard.
Esther Berrebi……… Eugénie Laffont, la maman de Bernard.

Marion Belamy……...Marianne Rodier, la jeune fille.
Ernest Flamand……Ernest Rodier, le papa de Marianne.
Francoise Laporte……Julia Rodier la maman de Marianne.


Miriam Azoulay……..Eva Norton. L’amie de Marianne.
Jérémie Attoun………Sébastien Fortin, l’ami de Eva.
Léonard Rosenberg…Charles Fortin Professeur dans le pavillon des maladies neurologiques à l’Hôpital Ste Anne à Paris. Le papa de Sébastien.


Pour des raisons de compréhension du texte, les dialogues concernant Bernard, l’handicapé muet seront textuellement écrits.

A Bientôt.
Re: Vers et poémes en vers libres.
27 juin 2010, 01:59
Paris le 23/04/2005.

Tous les évènements cités dans cette nouvelle sont imaginaires.

UN AMOUR D'HANDICAPE.


‘…Il n’est nullement besoin parfois d’exprimer son amour par des paroles.On le devine aisément à un regard à un geste appuyé ou à un signe du destin… !’Albert.



Dans les principaux rôles…

Bernard Chartier…….Bernard Laffont le muet.
Michèle Zerbib …… Désiré Laffont, la sœur de Bernard.
Christian Amelin……Georges Laffont, le papa de Bernard.
Esther Berrebi……… Eugénie Laffont, la maman de Bernard.

Marion Belamy……...Marianne Rodier, la jeune fille.
Ernest Flamand……Ernest Rodier, le papa de Marianne.
Francoise Laporte……Julia Rodier la maman de Marianne.


Miriam Azoulay……..Eva Norton. L’amie de Marianne.
Jérémie Attoun………Sébastien Fortin, l’ami de Eva.
Léonard Rosenberg…Charles Fortin Professeur dans le pavillon des maladies neurologiques à l’Hôpital Ste Anne à Paris. Le papa de Sébastien.

Pour des raisons de compréhension du texte, les dialogues concernant Bernard, l’handicapé muet seront textuellement écrits.


Chapitre 1°.

Marianne a 20 ans.
C’est une jolie jeune fille aux cheveux longs avec des reflets acajou. Des yeux tirés en amande. Un gêne qu’elle a hérité de son père eurasien pour la forme et bleus pour la couleur des pupilles de sa maman normande.

Un petit air marin d’ailleurs s’en dégage.

Étudiante en langues étrangères; anglaises, allemandes, espagnoles, elle se destine à faire carrière dans l’interprétariat et de se perfectionner plus tard outre Manche, pour son anglais et dans les autres pays pour maîtriser le reste. Un brillant avenir s’offre à elle.

Elle n’a pas de flirt, chose rare de nos jours car la jeune fille consacre son temps aux choses sérieuses plutôt qu’à des pertes de temps inutiles sans lendemain. Par contre, elle a une amie, Eva, 25 ans, secrétaire dans un cabinet médical.

Elles se rencontrent presque tous les dimanches, soit chez l’une ou soit chez l’autre à tour de rôle ou alors lorsque le temps s’y prête, dans un café voisin dans leur quartier respectif. Le samedi soir est consacré à une sortie dans une boite de nuit branchée du côté des Champs- Elysée. La jeune fille, Marianne, plutôt réservée et timide, préfère regarder les couples danser qu’être enveloppée, dans des slows languissants, par des bras d’inconnus aux visages émaciés, acnéiques avec une haleine enfumée, alcoolisée et droguée. Par contre son amie, Eva, est une vraie ‘fonceuse’ ; elle est ce qu’on appelle ‘une monte en l’air’ et adore se faire éclater sous toutes les coutures confit t’elle souvent à Marianne.
Elle adore les hommes et l’amour. Elle ne s’en prive pas.

Elles sont deux caractères diamétralement opposés mais qui cohabitent, sans préjugé.
Aucune n’impose à l’autre sa ligne de conduite. Un accord verbal tacite conclu sans écrit, pour la forme.

En jour de semaine c’est ‘Je t’appelle et tu me racontes ta journée.. ! En trois minutes...!’

Marianne, entre midi et deux, a pour habitude de venir apprécier son petit déjeuner dans une brasserie de carrefour, pas loin de sa fac. Elle prend sa pause en attendant la reprise des cours. Un moment de détente et surtout de lecture. Les serveurs du lieu la connaissent.
Le patron aussi.

A suivre.
Re: Vers et poémes en vers libres.
29 juin 2010, 03:41
<object width="425" height="355"><param name="movie" value="

&rel=1"></param><param name="wmode" value="transparent"></param><embed src="

&rel=1" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="425" height="355"></embed></object>




Chapitre 2°.

Il est midi et la jeune fille, malgré le beau soleil qui inonde Paris, reste fidèle à son petit espace intérieur ; là où personne ne se risque pour l’importuner.

Elle termine sa collation et son petit noir de café lorsqu’un jeune homme rentre, mèche rebelle sur le front, habillé d’un très beau costume, veste largement ouverte laissant apparaître une chemise de couleur bleue à col ouvert. Il s’arrête un instant et vise une table pas très loin de celle de Marianne. Il s’assoit.
Marianne a les yeux baissés. Elle est plongée dans sa lecture.
Elle croise ses jambes.

‘...Le jeune homme, attiré par son look, la fixe du regard, attendant le moment propice pour la saluer. Ce qui arrive deux minutes plus tard et là il lui fait un geste ; il tapote sa poitrine avec sa main droite à hauteur de son cœur.
Ce qui signifie ‘…Mon cœur vient de battre pour vous... !’

Marianne rougit et rebaisse les yeux. Elle a compris le message.
Deux minutes plus tard, il se lève et va carrément s’assoire en face d’elle. Il tire un petit carnet à feuillets et inscrit ce qui suit…‘…Je m’appelle Bernard Laffont… ! J’ai 27... Ans ! Je suis désolé- je ne parle pas … ! Célibataire sans enfant et mon cœur vient de frémir sous votre beau visage… !’ Une phrase naïve qui fait sourire Marianne. Elle juge en son for intérieur que le garçon est entreprenant, audacieux. Sans dire un mot, elle lui retourne le feuillet sans réponse puis se lève, paye et laisse le jeune homme en plan. Seul avec sa bouteille de Coca.
Et son billet.

A suivre...



Chapitre 3°

YAMOR

<object width="425" height="355"><param name="movie" value="

&rel=1"></param><param name="wmode" value="transparent"></param><embed src="

&rel=1" type="application/x-shockwave-flash" wmode="transparent" width="425" height="355"></embed></object>>

(Ses paroles sont les miennes et ne sont pas celles de sa chanson.)


Je t’aime mon amour
Beaucoup de la façon la plus sincére.

Je t’aime mon amour
Beaucoup de la façon la plus pure.

TOO MUCH....

Mais comment te le prouver
Oui je t aime mon amour
Très beaucoup.

Moi qui doute parfois
Je rêve parfois de t’enlacer.
Je t’aime mon amour
Beaucoup.

Oui mon amour d’une façon étrange
Je t’aime et te le prouver m’est difficile
Je n’ai seulement que des mots pour toi
Des sentiments en vrac que je chante
Que je chante Mon amour
Je t’aime beaucoup. Très beaucoup.

Et quand je ne suis pas près de toi
Je t’aime dans mes pensées
Mon amour.

Je t’aime mon amour
Très beaucoup.
Ne t en va pas chéri...

Chéri je t’aime...
Si tu savais , si tu savais...

Je danse sur ton nom
Je chante par ton nom.
Je divaAAAgue mon amour....§§§§§



'...Marianne sort en ajustant son chemisier. Elle s’apprête à descendre dans le métro mais auparavant, par précaution, elle jette un regard derrière elle, s’assurant de la présence du muet. En effet, elle l’aperçoit dehors debout sur le seuil de la brasserie, les mains dans les poches ; l’air contrit.

Elle dévale les escaliers et se mêle à la cohue dans la station.
Après la fac, elle rentre chez elle pour se reposer. Elle s’allonge lorsque le téléphone sonne.

C’est son amie Eva…

-‘…Alors ma biche, comme d’habitude pour ce week-end.. ?
-‘…Oui, avec plaisir…. !’ Et puis se souvenant de la courte rencontre d’avec le jeune homme… !’
-‘…J’ai une chose à te raconter.. Mais pour plus tard…!’
-‘…Dis le tout de suite, je suis curieuse, tu le sais bien et samedi c’est bien loin… !’
-‘…Bon, tu attendras… ! D’autre part, pas de sortie ce samedi en boite, tu me raccompagneras… ! Ok.. ??’
-‘…Promis, juré, alors bye… ! A samedi.. !’

Comme convenu, Marianne et Eva sont attablées dans un restaurant branché. Au cours du repas…


A suivre...

Re: Vers et poémes en vers libres.
29 juin 2010, 11:18
LA PASSERELLE.



‘…Et quand les dernières lumières se sont tues
Et que le grand assourdissant brouhaha enfin disparu,
Nous étions ma femme et moi ,assis en costume, bien tenues,
Seuls parmi les chaises déplacées de nos invités
Et devant le grand podium déserté.

Sans grands mots, nous avons pris
Nos corbeilles de Hénnè suspendues dans nos mains
Comme de vieux parents revenus d’un pèlerinage
Nous avons franchi la grande passerelle *
Laissant derrière nous le grand rideau de larmes.

Écho ruisselant de l’eau sur des joues vitrées
Dans nos oreilles, par le vacarme, bouchées .

Bien tard dans la nuit humide et sans fards
Nos paniers d’osier cachés dans la malle
Nous avons pris la route insipide
Qui mène à notre chez nous,
Dans notre chez nous bien désert.

Amis et pèlerins qui lisaient par là
Sans doute sur ce Mur peinard
Je suis gros Breit qui rit par devant
Mais quelquefois pleure par devers.

Par mille états d’âme, ma vie est jonchée
Et toujours prêt sur mille ânes à chevaucher.
Si le regard du cabri se dit bien triste
Le mien est celui de l’émotion de l’artiste.

Aux anges de lumière, celle du Paradis
A nous les mortels, les fêtes de la vie.


* Moulin Brûle.


<object width="480" height="385"><param name="movie" value="

&hl=fr_FR&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="

&hl=fr_FR&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="480" height="385"></embed></object>
Re: Vers et poémes en vers libres.
29 juin 2010, 12:13

‘…Je t’ai languie papaAAAA,
Qu’elle me dit là bas,
Chez elle,
Cet après midi.

‘…Moi aussi, ma chérie… !’

Que je lui répondS avec un pincement au cœur… !

‘…Mais je ne suis pas bien loin… !
Ne t’fais pas de soucis, la vie en est déjà pleine… !
A présent, tu as un mari, chériIIIe
Comme toutes les jolies filles
Qui ont trouvé leur bonheur,
Leur voie sans jamais perdre le chemin.
Il prendra soin… de toiIIIII, chérie,
Comme je l’ai fait pour toi… !’

PouUUUUr toi.
Re: Vers et poémes en vers libres.
30 juin 2010, 05:17
ça fait longtemps que je suis pas venue te le dire mais continues c'est très beau
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter





ZLABIA

Copyright 2000-2024 - ZLABIA.COM