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<iframe title="YouTube video player" width="480" height="390" src="; frameborder="0" allowfullscreen></iframe> ADELE FROMENT 11° CHAPITRE 11° Elle tape à la porte mais en lui fait signe d’attendre qqs minutes. C’est l’heure de la prise des médicaments. Enfin, les deux infirmières sortent pour laisser la place à Adèle qui, émupar bartou - L'ALGERIE
<iframe title="YouTube video player" class="youtube-player" type="text/html" width="480" height="390" src="; frameborder="0" allowFullScreen></iframe> ADELE FROMENT. CHAPITRE 9°. Adèle reprend espoir. Les quelques indications, si minimes soient t’elles dévoilées par sa maman, sont à prendre au sépar bartou - L'ALGERIE
ADELE FROMENT.... CHAPITRE 7° Elle fait donc une promesse qui risque de lui coûter fort chère si elle ne s’y attelle pas sérieusement. Promettre aux vivants est une chose mais à des défunts est une autre paire de manches. Sa vie est en jeu. Ou celle de ses proches. Car rien n’est gratuit à ceux qui se dérobent aux promesses faites aux défunts en ce bas monde. La nuit se passe bipar bartou - L'ALGERIE
Le récit comme tous les récits imaginaires passés ici sont des nouvelles de Albert Siméoni.par bartou - L'ALGERIE
ADELE FROMENT. CHAPITRE 5°. Adèle relate lentement et brièvement, en croisant ses jambes, les événements qui la perturbent depuis un mois tout en présentant, à la demande du médium, la photo de famille. Le médium s’en saisit délicatement, tâte, retourne, caresse le papier, tout en hochant la tête. Il passe le pendule au-dessus des photos. Ce dernier semble s’emballer puis rpar bartou - L'ALGERIE
<object width="640" height="385"><param name="movie" value="?fs=1&hl=fr_FR"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="?fs=1&hl=fr_FR" type="application/x-shockpar bartou - L'ALGERIE
J’ai donc décidé comme je le disais ailleurs de ne plus archiver mes qqs souvenirs à l'avenir. Mais de les faire passer sur le champ ici et ailleurs. Maman à cette époque, je vous parle d’un temps ancien de 60 ans, tenait sa maison, bien qu’étroite, d’une façon exemplaire. L’hygiène chez nous était sa grande préoccupation. Elle ne travaillait pas. Sa tache était ménagère. C’était du boupar bartou - L'ALGERIE
ADELE FROMENT. Récit. Tous les personnages cités dans cette nouvelle ainsi que la description des lieux ne sont que pure imagination et n’ont trait à aucun événement d’aucune oeuvre connue. Année 1976. Adèle Froment est une jeune fille de 23 ans, charmante et saine d’esprit. Elle travaille comme première secrétaire dans une grande entreprise de bâtiment à Paris. Commepar bartou - L'ALGERIE
<a href="; title="upload image"><img src="; alt="hebergeur d'image" border="0"/> Mon voisin de la rue Doudeauville est marchand de tapis. Il est iranien, mais un bon iranien. Tous les matins, il atterrit avec son tapis volant pas loin de chez moi et se gare comme d’habitude dans un créneau commun, il paye son ticket modérateur PAYANT A 100 %par bartou - L'ALGERIE
Aprés le récit '...MAURICE LE FERRAILLEUR ET LA MENORAH...!' Vous suivrez sur vos écrans un autre récit imaginaire '...ADELE FROMENT...!' HAG SAMEAH.par bartou - L'ALGERIE
MAURICE LE FERRAILLEUR ET LA MENORAH. FIN DU RECIT. CHAPITRE 19/1. Rivka s’arrête de parler. Elle n’ose y croire. Au moment même, où elle accentue son regard sur la chose aux reflets dorés, la sonnerie de la porte retentit. ‘…Je suis sous le coup d’une grande émotion, Aurélie (sa fille) va ouvrir… !’ Aurélie sa grande fille ainée obéit. Un grand monsieur en livrée est deboutpar bartou - L'ALGERIE
MAURICE LE FERRAILLEUR ET LE CHANDELIER. CHAPITRE 18/1. ‘…Je sais que mon père avait un amour fou pour un objet qu’il entretenait avec soin. Il nous interdisait même de le toucher sans sa permission. Un objet qui le tenait de ses aïeux, mais qui malheureusement a disparu durant la guerre, et malgré mes recherches pour le je n’ai pu le retrouver. Cet objet une Menora en or massifpar bartou - L'ALGERIE
Dans ma boutique articles en tout genre, magie et conneries… Une dame de couleur noire me demande une aide, mais pas n’importe laquelle. ‘…Monsieur, je suis stérile… ? Que dois- je faire… ?’ A cette question qui réveille mes sens endormis à cette heure d’une après midi chaude, je réfléchis car la solution mérite réflexion, la chose n’est pas anodine… ‘…Ah si on plus, je dopar bartou - L'ALGERIE
Dans cette petite faune hétéroclite qui baigne dans le bizarre et l’étrange, fort sympathique au demeurant, je me dois d’être parfait et sérieux et surtout à la hauteur de mon génie commerciale. Le génie commercial dont je suis imbibée n’est pas un génie commercial sorti d’une école des beaux arts ou de ces entreprises où l’on pond des cadres à la demande, des mecs stéréotypés stressés à la lpar bartou - L'ALGERIE
Je serai tente de dire ‘…Etonnez-vous… !’ Chers amis, amies de cette matière humaine qui donne à notre sociétè ses lettes de noblesse et loin s’en faut n’est pas aussi parfaite que l’on essaye de nous faire croire car seul l’égo et le narcissisme fait de nous, à nos yeux, des gens parfaits. Mais aux yeux des autres il se trouve toujours un autrui pour passer pour plus que parfait. La seulepar bartou - L'ALGERIE
Petita c’est son nom d’artiste. Elle est brésilienne, 25 ans et à damner le pion d’un curé de compagne. Elle est relookée de haut en bas, ses joues sont tirées, son nez joue presque du clairon, ses oreilles sont plates, allez savoir pourquoi surement pour entendre les platitudes de ces clients, car Petita est travesti. Longue queue de cheval, une postiche, jean moulant et bottes de cuir. Upar bartou - L'ALGERIE
Je suis capable de tout. Une haïtienne bien potelée me demande de bon matin à l’ouverture. ‘..Auriez-vous de la PIPI DE CHAT TOUTE CHAUDE… ?’ ‘…Oui madame, j’en ai… !’ ‘…Juste une seconde, je vois si ma chatte est réveillée…. !’ ‘…Je vous attends… !’ ‘…Combien de cl vous voulez…. ?’ ‘…Juste 50 grammes… !’ ‘…Ok, alors 15 centimètres… !’ Je vais derrière mon laboratopar bartou - L'ALGERIE
Dans ma boutique hraouar,( épices) magie, hrouchouts etc…. Rentre une belle dame africaine au dessus de tous soupçons, soupe au lait.Lol. ‘…Pourriez vous me renseigner sur quelque chose qui me turlupine… ?’ ‘…Je vous écoute Madame… !’ ‘…Qu’est ce qu’un gris gris… ?’ ‘…Un gris gris madame est gris… !’ ‘…Est-ce maléfique… ?’ ‘…Tout dépend de l’usage qu’on en fait… !’ ‘…C’estpar bartou - L'ALGERIE
Des sports ? J’en ai pratiqué à la Goulette car le sport chez nous c’était une institution, tous comme les jeux au demeurant. Du football de plage ou du terrain noir, du hand-ball en passant par la natation et le water-polo, rien de ces pratiques ne nous étaient inconnues. Nous n’avons pas eu la chance d’avoir un terrain de POLO, dompter les chevaux est une affaire sérieuse ipar bartou - L'ALGERIE
AAAAAAAAh mes amis.......! Les noirs… ? Quelle aubaine d’être tombé tout droit dedans alors que je suis de couleur lait. Que vais-je vous raconter, par moment il m’arrive d’hésiter, de ne pas vous rapporter ces histoires presque incrédules… Deux clientes rentrent dans ma boutique MAGIE SORCELLERIE GRIS GRIS ENCENS ETC….. L’une d’elle. ‘…Monsieur, voilà, avez- vous de la guimauve…par bartou - L'ALGERIE
Dans ma boutique de MAGIE et HROUCHOUTS, bientôt Pâques et le Chistout, les affaires viennent toutes seules, moi je ne vais jamais vers les affaires, je suis trop fainéant pour cela. Une dame africaine enceinte franchit le seuil de ma boutique. Elle n’est pas plus haute que mon amie Isabelle Tahar Miller en sabots, au doux nom de NAO, son ancien pseudo d’artiste, celui qui a fait notrepar bartou - L'ALGERIE
Comme tout un chacun, je feuillette, tous les matins, divers journaux à la recherche du cocasse, du burlesque, de l’innovant et des conneries. La politique est stupide. Les faits divers, les affaires criminelles, m’intéressent beaucoup plus que les platitudes des hommes politiques. Ces longs discours répétitifs. Les rubriques santé je ne les vois pas trop pour la seule raison que je tpar bartou - L'ALGERIE
MAURICE LE FERRAILLEUR ET LA MENORAH. CHAPITRE 15/1. Une semaine plus tard, Maurice reçoit une lettre d’Israël signée par un certain Abraham Bar Shay. Sans hésiter, Maurice compose le numéro de ce Monsieur vivant en Israêl, qui lui apprend que la dame en question habite à Césarée. Sans plus attendre, et afin d’être bien sur que son interlocuteur dit vrai, il compose à son tour, lepar bartou - L'ALGERIE
Suite.... Oubliant pour un long temps, l’objet de mon culte, la moto et ce phantasme, je m’attelais plus tard sur d’autres phantasmes. A 15 ans, mes héros étaient ceux des bandes dessinées. BLEK LE ROC, ce grand gaillard au bandeau, au gabarit imposant, aux formes athlétique, symbole de l’Amérique combattait les anglais, il s’était mit dans la tête de bouter les tuniques rouges de la régiopar bartou - L'ALGERIE
Le phantasme. L’objet de mon phantasme au tout début. Je grandissais donc dans cette ville ouverte à tous les vents. Et lorsque la mer grondait, nous étions là, debout sur sa grève, à la taquiner. A la narguer, parce que nous nous sentions héros et que notre mer ne pouvait en aucun cas nous faire de mal. Nous étions ses enfants et ses vagues dans lequel nous plongions étaient notre oreilpar bartou - L'ALGERIE
Je ne connais pas de vie sans histoires. Elles font parties intégrante de la vie. Depuis la nuit des temps, l’histoire commence bien avant la naissance. Le progrès étant, aujourd’hui déjà et dans le ventre de sa maman le gyno établie déjà physiquement l’historique du fœtus. Il sera suivi depuis sa fécondation jusqu’à sa sortie. Et bien après. Sa naissance ne déterminera pas son destinpar bartou - L'ALGERIE
MAURICE LE FERRAILLEUR ET LA MENORAH. CHAPITRE 14/1. Il réfléchit et demande à son fils ainé de faire passer un message dans le site HARISSA.COM. Ainsi libellé. ‘…Recherche Rivka Colensky … Habitant en Israël… !’ Juste une petite et simple annonce. Rien ne se produit après la passation de cette annonce. Il décide d’élargir ses recherches avec l’aide de son fils qui rentre danspar bartou - L'ALGERIE
Goerges, je ne l'ai pas croisé, nous longions juste la frontiére égyptienne, lol.par bartou - L'ALGERIE
MAURICE LE FERRAILLEUR ET LA MENORAH. CHAPITRE 12/1. ‘…Monsieur Maurice, mes services consulaires sont parvenus à remonter l’histoire tragique de cette famille Colensky et en poussant très loin, nous avons appris que cette famille était sous la protection du Roi Stanislas Leszczyński, durant son règne. Abraham Colensky, grand rabbin, décédé en 1793 était son intendant, son prpar bartou - L'ALGERIE