Quand au crépuscule d'une vie lapidée par la guigne,on s'appercoit que déjà ,il est temps de s'en aller; alors a quoi bon écorcher des racines meurtries. Activons ,a les guérir pour pour raffermir les bourgeons.
Nos ancetres ont éprouvé des peines afflictives,longé des sentiers hasardeux,traversé des plaines perilleuses. Sur le chemin de croix ,l'ouie a l'affût d'un évanescent murmure,pas un son ,ni meme un signe aussi traîtres soient ils ,ne leur sont parvenus meme accidentellement entraînés par un furtif vent. Seul le gémissement de leur âme esseulée et meurtrie,sentant l'effluve d'un parfum amer,leur revenait en écho.