Zlabia.com Le Rendez-vous des Juifs d'Algerie





histoires vraies

Envoyé par georgeot 
Re: histoires vraies
02 mars 2007, 08:50
bonsoir georgeot.

c'est un compliment extraordinaire, mais si tu suis d'une manière studieuse toutes les leçons de ce forum , je pense avoir donné l'explication. en plus ton virement n'a pas encore été crédité sur mon compte. souviens toi, je t'ai dis de payer d'abord.....un peu d'affaires ne fait de mal à personne...n'est-ce pas? point commun: moi aussi je suis curieux.

amicalement
Re: histoires vraies
05 mars 2007, 12:25
Bonsoi

Lamak : je ne peut te faire de virement car le suis comme les blés
Fauché....Fauché....enfin fauché de chez fauché, peu-tu faire
quellque chose pour moi

D... te le rendra ! Merci

Je ne suis pas D.I.S.....mais Neuf, voir Onze
Re: histoires vraies
06 mars 2007, 01:55

Bonjour l'ami.

bon! puisque tu es fauché je vais quand même faire quelque chose pour toi. cette fois-ci seulement. l'ov tu le déchire et qu'on en parle plus. D.IS qui se prononce effectivement comme tu l'as dit: dix veut dire: Doté d'une Intélligence Suprême.

Voilà cger ami j'espère que tu es tranquilos maintenant.

je te propose une autre de plus belle et toi qui connait l'arabe , cette expréssion cent pour cent de langue tlemcénienne est toute une doctrine, si tu arrive à déchiffrer son sens. il s'agit de H.T.M.

Hchicha Talba M'icha....une tige d'herbe qui ne

demande qu'à vivre .....ou arrosée. allez bonne journée à toi mon

frère le Vert.....khouya Lakhder(prénom arabe et couleur verte).
Re: histoires vraies
10 décembre 2007, 08:10
Bonjour à toi,

Je suis nouvelle et aimerais participer à ce forum.

En ce qui concerne les histoires vraies, en voici deux;

Cela s'est passé dans les années 60 à Nemours, petite ville de l'Oranie située près de Tlemcen et de Nédroma.

A cette époque, souvent venaient des troupes de musiciens ambulants, originaires du Sud profond.

Ils passaient dans les rues en chantant et en jouant de leurs instruments de musique.

Naturellement, comme partout, ils étaient suivis par les jeunes yaouleds.

Mais il y en avait un qui, longtemps après le départ de ces musiciens, chantait en s'accompagnant d'une tchentchana

Bombara machi lasouk
Bombara yachri el foul
Bombara aq'ad fi sour
Bombara yakek el foul,

et ce, à longueur de journée.
Et depuis, le surnom de Bombara lui est resté jusqu'à présent.


La deuxième histoire concerne un de mes cousins.

Vous autres les gars, vous vous souvenez sans doute de ces jolies toupies en bois, qu'avec un geste vif; en tirant sur la ficelle, vous faisiez tournoyer rapidement ?

Eh bien mon cousi était très maladroit et en plus il se faisait toujours casser sa toupie.

Alors, il allait pleurer auprès de sa mère en lui disant : casse toupie, casse toupie, casse toupie.

Alors, excédée, sa mère lui dit, alors qu'il venait pleurnicher encore une fois, elle lui dit en lui donnant les sous : hak ya casse toupie wa ma t'cassilich rassi.

Et depuis ce temps là, on ne l'appelait plus que "casse toupie" et plus tard "el casse" tout simplement.

Cordialement.



PS ; je voudrais aussi vous apprendre la naissance d'un nouveau site : wwww.zohramaldji.fr

Peut-être que vous reconnaîtrez des gens et des endroits que vous avez connus.
Re: histoires vraies
10 décembre 2007, 23:06
bienvenue à toi ghazwana.

en voici une:
l'histoire se passe dans un train qui roulait à une vitesse vertigineuse.
un arabe blème ne cessait de répéter:"allah yestor , alallah yestor...."(que dieu nous preserve) tout d'un coup le train déraille et le français de dire: "cet accident c'est à cause de l'arabe,qui, depuis tout à lire il disait "là, il se tord..."et voilà le train a fini par se tordre".
Re: histoires vraies
11 décembre 2007, 04:08
Bonjour,

Après une histoire de train, voici des petites histoires de car, on ne disait pas bus à l'époque.

Le car s'arrêtait le long de la route chaque fois que quelqu'un faisait un signe.

Ce jour-là, c'était une vieille dame :

- ouine yamchi had elcar, ya ouldi ?

Le chauffeur, pour rire, (la destination finale étant Oran), lui répond :

- yamchi lalmarican

- Ayaoua, ana khelini fi Alhnaya

**************

Une vieille dame n'arrivai pas à monter dans le car et dit :

- montez-moi, montez-moi

Des passagers déjà assis, se levèrent et la montèrent;

Une fois montée, elle ouvre son porte-monnaie et s'aperçoit qu'elle n'a pas assez de monnaie et se met à dire : aidez-moi, aidez-moi.

Ils l'aidèrent à payer, puis elle dit : asseyez-moi, asseyez-moi.

Ils lui trouvèrent une place près d'un petit vieux qui, aussitôt, se leva et alla s'asseoir plus loin.

L'homme près duquel il s'était assis lui dit :

- Pourquoi tu t'es levé ?

- Parce que, lui répondit-il, elle vous a dit : montez-moi, montez-moi et vous l'avez montée, ensuite elle vous a dit : aidez-moi, aidez-moi et vous l'avez aidée à payer sa place et après elle vous a demandée de l'asseoir et vous l'avez fait.

- Et alors ? demanda l'autre

- Alors, j'ai eu peur qu'elle vous dise "mariez-moi, mariez-moi", et c'est moi qui en aurais fait les frais

***************

Une vieille dame très chargée, fait signe au car. C'est la première fois qu'elle le prend.

Elle monte et le receveur lui dit :

- Où vas-tu chibaniya
- pourquoi tu veux le savoir ?
- pour que je te dise combien tu dois payer le ticket
- tequé, ma téké ?

Le contrôleur lui montre sa machine et les tickets et lui explique en quoi cela consite.

- je vais chez ma fille
- bien, et où habite ta fille ?
- cela ne te regarde pas où habite ma fille

Le contrôleur commence à s'énerver et lui dit :

- ma da'liche fin taskane bentek, je veux juste savoir où tu dois aller pour que tu payes le ticket, sinon, tu descends.

Elle se retourne alors vers le chauffeur et lui dit :

- chouft, ma yahchamch hada, wana ki yamah

A ce moment se lève un passager pour lui expliquer la raison de la demande du contrôleur. Elle finit par obtempérer et dit au contrôleur, qui n'en demandait pas tant :

- Je vais voir ma fille parce que mon voisin a rencontré mon gendre au souk de Nédroma et lui a dit que le bébé, un garçon, est né. Alors, tu vois, je lui prens ce lahf que j'ai fait pour le bébé, ce poulet, un peu de zamitt, de la taknata, des oeufs et des msamens.

- Très bien, très bien, lui dit le contrôleur qui n'en pouvait plus, mais où habite ta fille ?

- Ma fille habite fal Houanettes
- Eh bien tu vois, il suffisait de le dire. Cela fait zouje dourous.

La vieille le paye et le contrôleur lui donne son ticket et lui dit :

- Maintenant tu descends
- Pourquoi, j'ai téké
_ Oui, mais tu es arrivée...


Il manque l'accent, les mains qui parlent en même temps, l'ambiance du car et le chaud soleil qui tape sur les têtes.

Bonne journée.
Re: histoires vraies
11 décembre 2007, 06:47
je salut toute la comunauté juive en france et je suis algérien d'origine turc et j'aime bcp mes amis juifs d'algérie et j'aime avoir des contacts avec eux et surtout j'ai un point commun avec eux c'est la musique andalouse et franco-arabe je chante lili boniche lili labassi et samy el maghribi et j'adore lili boniche que je cherche de ses nouvelles es ce qu'il vas bien il est envit etc.....
Pièces jointes:
boniche.jpg
Re: histoires vraies
07 janvier 2008, 11:35
Histoire vraie...

Bonjour, voici l'histoire d'un commerçant juif algérien, résidant à Alger, durant les année sombres du terrorisme… Elle se passe quelques part au milieu de l’années 1990. Ce citoyen algérien, sexagénaire, avait peur pour sont fils. Il avait peur qu'il tombe entre les mains des ses barbares barbus. Déjà que c'etait pas facile pour un algérien musulman, imaginer pour un juif...
Le papa donc, décida d'envoyer le fiston en France le temps que les événements se calme.
Le jeune donc, embarqua pour Paris ou il travailla dans des chantiers de construction comme ouvrier, dans des stations services comme pompiste, dans des magasins etc....

Après 6 mois de galère, il décida de rentrer au pays et dis à son père... "Je préfère me faire tuer par mon frère que d'être humilié par un étranger".

A méditer
Re: histoires vraies
09 février 2008, 01:28
Bonjour georgeot.

Voici deux histoires pour toi. Elles vont te donner la pêche et te permettent de passé un bon week end.


C’est un algérien qui travaillait avec un japonais dans la réparation d’un câble électrique aérien. Le japonais qui était dans les airs, pris d’un vertige tombe du haut du pylône. Une fois à terre, il se relève vite fait et se remet au boulot.
L’algérien, tellement t’choka d’da 10 jours de congé maladie (l’Algérien choqué à pris 10 jours de congé maladie).



@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Généralement, lorsqu'un navire débarque dans un port, il envoie des cordes pour qu'on l'attache au quai.

Un jour, un navire étranger débarque au port d'Alger et voilà que l'employé du port sur le quai cri en direction de la personne sur le bateau: « Armi lehbila ! (Cela veut dire: envoies la corde…..plus exactement la cordelette en dialecte de Tlemcen) ». Le marin le regarde avec de grands yeux sans savoir ce qu'il veut dire. L'employé du port répète une deuxième fois: « yaw Armi lehbila ! » et une fois de plus, le marin fait des gestes insinuant qu'il n’a rien compris.

A ce moment là, un autre employé du port, voyant le manège, se dirige vers son collègue et lui demande : « c'est quoi le problème ?». Et l'autre répond: « depuis tout à l'heure, je lui dit Armi lehbila mais il ne le fait pas !! ». Alors, celui-ci lève sa tête et dit au marin :"you speak engliche ?" et le marin tout content lui répond avec enthousiasme:" yes! I do".

Et l'algérien lui réplique : "Emala, armi lehbila....khkho."

Bon week end l'Ami
Re: histoires vraies
09 février 2008, 03:46
Quote
Ghazwana
Naturellement, comme partout, ils étaient suivis par les jeunes yaouleds.

Même en 2008 tu continues à utiliser ce surnom péjoratif de "yaouleds" que les colons racistes attribuaient aux enfants autochtones algériens. Les femmes étaient appelées "fatmas".
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