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DISCUSSION
Attention : Votre entree ne sera postee
qu'a la prochaine mise a jour.
11/03/02
shalom
, et bien je vous salue avant tout et je compte beaucoup
sur vous pour m'informer sur ma famille benchikou. on
habite biskra et ma mere est didiche elle m'a dit qu'elle
a des origines juives mais je tiens à vous pour m'informer
et je demeurerais votre ami enfin chers cousins je
veux savoir aussi des nom de famille de juif habitant biskra
, constantine et touggourt merçi
rafie chennouf
[rafie10@caramail.com]
11/03/02
Congratulations
on the opening of your web site. The South Dade Sephardic minyon
members of Young Israel of Kendall salute you in your successful
undertaking of this new communicative medium. We hope that we can
engage in a continued dialogue to further link our various Sephardic
Jewish brethrens throughout the Americas and the world. We would like
to keep you abreast of of our community activities of our
nascent Sephardic community in South Dade. We have been having Shabbat
Sephardic minyon for the past two years. We are a community of
some 15 Sephardic families with various origins including a
predominance from Morocco. We wish you continued success. Shalom.
Andre Abitbol
Member Sephardic Liaison Committee Young Israel of Kendall
Home E-mail: abitbol@aol.com
Office Tele: 305-596-6566
11/03/02
Un
autre nom juif du Maroc : MEDAM originaire de
Meknès; la famille émigre à Bône (Algérie) dès
1870 lorsque la France accorde la nationalité française
aux juifs d'Algérie.
Joseph
MEDAM
Yannick MARTIN
[nitram09@club-internet.fr]
11/03/02
Je souhaite
que vous me fassiez parvenir la recette de Ftairi evec le mode de preparation par
E-mail.
abdsoultane@hotmail.com
11/03/02
Sujet: Enrico Macias
Salut alors
comme c'est un site dedie aux pieds-noirs et qui est super bien fait(magnifique!!!),j'aimerai savoir si l'un de voux
aurait l'email d'Enrico Macias, sachez d'avance que je suis une tres grande admiratisse de cet artiste,et que ca me ferait enormement
plaisir de l'avoir enfin.
Merci d'avance, et bonne chance pour
L'ALGERIE.
y.mimine@caramail.com
11/03/02
Sujet: gens de mon quartier
J'habitais à la rue Forcioli à Constantine, mon père était policier Mr AYACHE et je cherche d'éventuels voisins à nous. D'autre part, je rêverai de recevoir des photos de ma rue (j'habitais au 14 "je crois"). Merci. A bientôt.
Lydie AYACHE/AZOULAY
11/03/02
Sujet: pourquoi les juifs
grace a des amis j
ai eu votre zlabia .mais je voudrais savoir qui a construit ce site c est un juif ou arabe j aie voulu chercher larbre genealogie mais imposible de trouve les arabes d algerie cest une honte our le pays surtout le film de mardi fr3 honte pour la france et algerie
surtout pour vous.moi francaise je tres mecontent mercie.
abraham_josephe@hotmail.com
11/03/02
Shalom
Je
cherche à établir mon arbre généalogique! dure tache! ma famille
est de Mascara(Chokroun, Bouhanna, Khalfon) et d'Oran (Sixous,
Vidal , Bellaiche) si vous avez des indications à me donner je vous
en serai reconnaissante. Merci
forest.michele
[forest.michele@wanadoo.fr]
11/03/02
Visit
our new virtual exhibition at the web site of Beth Hatefutsoth
– the Nahum Goldmann Museum of the Jewish Diaspora.
Dedicated
to the story of Hungarian Jewry from the Middle Ages until the
20th century, the virtual exhibition In
the Land of Hagar focuses on five main subjects: history,
economy, religion, culture, and the image of the Jew.
The
exhibition boasts interactive maps, audio and video clips in
addition to a rich visual material emphasizing the complexity
of Jewish life in Hungary and its impressive heritage.
Further
information includes an extended list of many hundreds of
Jewish
communities within the territory of historic Hungary, a rich
bibliography,
addresses of points of interest linked to Judaism in Hungary
today and more.
|
Also
don't miss:
Budapest –
our new Jewish Community in Focus as well as
The
Great Synagogue in Dohany Street in Budapest.
11/03/02
Sujet: recherche mon père
Salut je recherche mon père, il s'appel Bensaci MOuloud il vit a constantine
Pour tout renseignement envoyer un message à : ngoudjil@caramail.com
Il a eu deux fille dont moi.Je ne suis pas sur de l'orthographe de son nom de famille;
Merci d'avance
Nassima
11/03/02
JE M'APELLE NETANYA
MENELIK, NE EN EX ZAIRE
JE SUIS UN JUIF NOIR, J'AI 22ANS ET J'HABITTE AU BURUNDI,SI TU PEUT M'AIDER COME VOTRE FRERE CA SERA
MIEUX, PARCE JE PERDU MES PARENTS DANS LA GURE,
SHALOM,MON ADRESS
nmenelik@yahoo.com
11/03/02
De
l'engrenage et du cycle de la sottise médiatique ! (info # 010603)
Par
Jean Tsadik ã Metula News Agency
Par
paresse, par ignorance ou par malveillance, de nombreux commentateurs
des médias francophones ont récemment adopté la conduite, qui les
amène à faire partager les responsabilités entre Israéliens et
Palestiniens, quant aux causes de la persévérance de la violence.
Il
est effectivement confortable et intellectuellement reposant de mettre
des adversaires dos à dos. Non seulement cela évite-il les critiques
des partisans des parties en conflit, dont la sensibilité est bien
entendu portée à fleur de peau par l'écho des souffrances endurées
par leurs amis mais également, le fait de parler d'un "équilibre
des violences" ajoute généralement prestance et altitude à son
auteur.
En
occident, tout le monde est bien naturellement et bien sainement écœuré
par la perspective de la violence, aussi rien n'est plus
"normal" que de ressentir une incapacité à admettre, dans
le cadre d'une sensibilité globale, que des peuples s'entretuent au
lieu de coopérer.
Les
images sanglantes des victimes de conflits, en plus d'être révoltantes
par essence devant l'injustice et le choc de la mort, deviennent
grossières par un phénomène de répétitivité. Le téléspectateur
a ainsi l'impression d'être poussé à remplir un rôle de témoin
des événements qu'il observe sur son écran tv. Il faut ainsi saisir
la dynamique actuelle dans l'art télévisuel, qui consiste, pour
gagner des parts d'écoute, à donner au téléspectateur l'impression
qu'il fait partie de l'événement, qu'il est "dépassivisé"
! Avec des émissions comme le Téléton, les émissions de médiations
de toutes sortes mais surtout, avec le courant des jeux tels que le
Loft et "Qui veut devenir millionnaire", on voudrait que les
papis pantoufles ne se prennent plus seulement pour des
"amis" de la chaîne, on voudrait désormais qu'ils se
prennent pour des partenaires des programmes, plus encore même, des
co-présentateurs, des co-acteurs et des co-journalistes.
Bien
sûr, il ne s'agit ici que d'une nouvelle forme de marketing et les téléspectateurs
demeurent en tous cas aussi passifs qu'auparavant, mais au plan
personnel et avec la puissance du message de l'image, une grande
partie du public se sent désormais "impliquée" dans
l'existence intime du tube cathodique.
Bien
évidemment aussi, le téléspectateur ne différencie pas les émissions
dans lesquelles on veut le faire participer, de celles où on ne lui
demande que de recevoir un message préparé, comme lors les journaux
télévisés, par exemple.
Alors,
les guerres et les catastrophes naturelles deviennent les guerres et
les drames des papis pantoufles. Ne faisant plus non plus la différence
entre les programmes de divertissement, entertaining en anglais, et
celles d'information, "news", dans lesquelles on prend soin
de les divertir aussi, puisque TOUTE la télé s'est trouvée une
vocation de divertissement, les téléspectateurs restent sur
l'impression qu'il sont les clients de ces événements.
Le téléspectateur
dispose nominalement de toutes les qualités à part deux d'entre
elles : a) il n'est pas patient pour deux sous et se sent poussé au
zapping, dès qu'on lui présente deux fois le même sujet et b) il
doit être et demeurer le roi des ondes ! Il est obligatoirement un être
complet, consommé, omnipotent et omniscient, même s'il passe toutes
ses journées professionnelles au service des autres. La TV est conçue
pour être sa revanche. Devant son carré lumineux, on le courtise et
on lui lèche les bottes. On a l'interdiction de l'ennuyer et de le décevoir
et on a l'obligation de le tenir dans la plus haute des considérations.
A la télévision, même les présidents et les ministres courtisent
Monsieur Tout le Monde et le considèrent d'égal à égal.
Dans
ces conditions, deux semaines de guerre c'est OK mais ensuite, il
faudrait que les juifs et les Palestiniens aillent faire leurs saletés
ailleurs. Surtout qu'avec les explications "qui n'expliquent
rien" qu'on leurs a fournies, ils ne disposent même pas des
outils rudimentaires nécessaires à comprendre pourquoi ces gens se
massacrent de la sorte devant leur repas du soir ! Au bout de seize
mois d'Intifada, cette guerre les emmerde. Alors le présentateur du
journal télévisé "rejoint" parfaitement leur pensée,
lorsqu'il prend le rôle d'arbitre écœuré et qu'il ne parle plus
que de "généralisation et de cycle de la violence" !
A la
Ména, nous sommes certains que ces journalistes s'adonnent ainsi à
leur anti-rôle, tant ils devraient utiliser les nouvelles qu'ils reçoivent
du front afin de clarifier la compréhension des événements et pas
de les compliquer encore, par une simplification à outrance. En
agissant de la sorte, lesdits journalistes font plus que désinformer,
ils désexpliquent !
On
accède ainsi à la situation modularisée du "tout le monde il
est vilain, tout le monde il est méchant !" et dans cet à
priori narratif, on ne cherche plus à comprendre mais on gomme, au
contraire, les différences existant entre les protagonistes, au nom
d'une pseudo morale de supermarchés. Du coup, tous les dirigeants se
valent, toutes les nations procèdent des mêmes croyances et toutes
leurs méthodes acquièrent les contours élimés de la similarité médiatique.
Du coup, après être passés dans cette chaîne de lavage des
contrastes factuels, les terroristes-kamikazes ressemblent à s'y méprendre
à leurs victimes civiles, qu'elles aient été fauchées sur un siège
d'autobus ou à la terrasse d'un café ! Dans le même registre, vos télévisions,
vos radios et vos journaux privent leurs clients des moyens de différencier
entre la destruction d'immeubles vides par les pilotes israéliens et
l'assassinat collectif de trois passants anonymes par un desperado
palestinien.
Ca
n'est plus qu'une affaire de mots et dans cet exercice, l'informateur,
en vidant l'événement de son contenu informationnel propre, s'est réapproprié
le contrôle des cerveaux re-virginisés de son auditoire. Hier, je me
suis contraint à écouter France Info durant six heures d'affilée.
J'y ai, dans le contexte de mon article, par exemple et parmi un flot
d'actes qui illustrent mon propos général à frémir, décelé la
perle suivante :
A 10
secondes d'intervalle, la radio étatique parlait des F16 israéliens
qui ont bombardé Gaza, pour poursuivre avec le "corps expéditionnaire
français en Afghanistan, qui s'est acquitté d'une nouvelle
mission". Et moi, de demander à la cantonade ce qui reste de
compréhensible dans ce charabia alambiqué de la désinformation ?
C'est
que, remis à plat, lorsqu'on rend aux lecteurs la clé du droit de
comprendre, cela donne à peu près la chose suivante :
-
A
la suite de l'assassinat collectif de 32 civils israéliens en 48
heures, l'aviation israélienne a démoli, avec une grande précision,
les bureaux du commandement des forces armées de l'Autorité
palestinienne situés à Gaza. Cet acte de représailles pondérées
fait suite aux évidences recueillies par l'armée israélienne et
démontrant que l'Autorité palestinienne et son président Yasser
Arafat, portent la responsabilité de ces actes de terrorisme. Il
est à noter que l'armée de l'air israélienne, ainsi que tous
les Palestiniens de plus de 12 ans et les journalistes en poste au
Moyen Orient savaient, avant le début du raid, que les cibles
choisies avaient été délaissées par leurs occupants
-
L'escadrille
de Mirages 2000, opérant aux côtés des forces américaines en
Afghanistan, a à nouveau participé à la chasse au Taliban, qui
se poursuit depuis quelques jours dans certaines parties de ce
pays. Les pilotes français ont pris pour cible des concentrations
de fuyards appartenant au groupe d'islamistes armés. Selon des
sources concordantes, l'intervention des avions français a déjà
fait des centaines de victimes.
-
Au
plan journalistique, rien ne serait plus aisé que de
"stigmatiser la poussée de violence en Afghanistan" et de
se poser quelques questions humanitaires, liées à la légitimité du
maintien de la chasse à cours, surtout lorsqu'on remplace les chevaux
par des avions de chasse et les renards par des Talibans mais là ne
se situe pas notre propos du jour.
Je
voulais juste vous y parler de certaines astuces de prise de contrôle
de l'émotion de l'opinion publique, lorsqu'elles sont utilisées par
des journalistes malhonnêtes et ou incompétents. Je voulais aussi
vous prévenir, qu'il n'y a pas de "cycle" ni
"d'engrenage" de la violence et que l'usage de ces
accessoires de théâtre ne rapproche en rien les méthodes ni les
objectifs des uns et des autres. La responsabilité de la violence
reste à ses responsables et la médiocrité professionnelle et
intellectuelle de certains confrères reste, orpheline, à définir
leur démarche.

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