La déchirure est reste ouverte

Bonjour
Je m appelle Christian Padilla ,je suis ne en 1943 a Oran,dans le quartier Choupot. J ai quitte ma ville et mon pays en 1962 comme beaucoup de mes frères et sœurs.
La déchirure est reste ouverte, elle le restera toujours.
Mais grâce a un voyage effectue en cette fin d année 2004, la plaie s est un peu referme. Sur les conseils d un ami Bonois je suis retourne au pays accompagné d un garçon très sympathique qui s est occupe d organise mon voyage. Honnetement je ne pensais pas avoir besoin de quelque un pour me promener dans ma ville..
Heureusement qu il était la!
Grâce à lui j ai pu aller de partout et toutes les portes se sont ouvertes, même celles qui sont habituellement fermées.
Par exemple le cimetière normalement clos certains jours nous a été gentiment ouvert. D Ain El Turc aux Andalouses de Santa Cruz a Mers El Kebir, de ma maison natale a mon école, j ai tout visite même ma classe!
Tout fut très agréable du transport jusqu’à l hôtel (superbe, Ce voyage a ete grandiose. Si je devais tout vous raconter cela prendra 100 pages.
A mon tour je viens en ami vous conseiller de retourner chez vous.L’accueil est exceptionnel et les gens accueillants. Si vous hésitez, contactez mon guide il habite a Lyon et il connaît bien notre pays.
C est mon ami Bonois qui me l a conseille et vraiment je ne le regrette pas.
Voila, j arrête mon bavardage.
Si vous voulez l adresse de Morhand, écrivez moi je me ferais un
Plaisir de vous donner ces coordonnées et de répondre a toutes vos questions.
Christian.

Salut hermano, je suis né à Oran comme toi, mais en 1937. J'habitais Victor-Hugo. J'étais retourné à Oran de 1971 à 1991, pratiquement tous les ans, jusque dans les années tragiques. Depuis je pense y retourner "pero lo temo un poco". J'y ai gardé des amis d'enfance dans mon quartier et des relations universitaires (section Psychologique, grâce à mon ancien métier). Je comprends ton enthousiasme et ta joie. Je la partage. Nous ne pouvons oublier notre ville et surtout ce que nous avons vécu (nous étions jeunes). Albert Memmi (écrivain tunisien) écrit: La ville natale comme une mère ne s'oublie pas.
Tu as raison de dire qu'il faut un guide, tant la ville a changée. A bientôt sur ces lignes. Amicalement.

Bonjour Christian,
Je suis né à Alger en 1945 et je partage ton approche nous sommes des
algériens et des français à la fois.
Je suis déjà retourné au pays mais pour la dernière fois en 1978.
J'envisage de faire un nouveau séjour à Alger. Aussi les
coordonnées de ton ami m’intéressent. Seule question : ses
prestations sont elles d'un prix raisonnable?
Roger