Bonsoir Kahina,
j'ai connu Ryad Boufedji au milieu des années soixante au Lycée Okba, il était mon aîné de 2 ou 3 ans. Plus tard, on s'est retrouvé, dans le désert algérien, dans la Casbah, au milieu des ruines romaines de Timgad ou Cherchell ou Tipaza, à Tlemcen ou Béni-Abbès, ou encore chez lui, chemin Sfindja (Laperlier) et à chaque fois il me rappelait le bon vieux temps du lycée, comme pour dire "on n'est plus très jeune". Il est parti le premier. Allah yerahmou, et que notre Casbah soit sauvegardée en toute urgence.
Fraternellement.
Ibrahim-Sid'Ali.