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LA DHIMMITUDE

Envoyé par Abraham2210 
LA DHIMMITUDE
07 novembre 2011, 09:39
L'islam, la dhimmitude…
ou la mort.

Les « écoles » coraniques enseignent une notion, trop peu connue des occidentaux, qui a pour nom la « dhimmitude » (de « dhimmi », celui à qui s’applique la « dhimma »).
On ne trouve que fort peu de définitions correctes du « dhimmi » et de la « dhimmitude ». Même les grandes encyclopédies n’y font référence que de façon pratiquement accidentelle. C’est notamment le cas pour l’ « Encyclopedia Universalis » dont nous extrayons le paragraphe reproduit ci-après.
Le mouvement de distribution des terres, commencé sous les califats de Omar et de Othman, a continué largement, au profit des proches et des familiers des califes omeyyades et des gouverneurs. Les terres, à l’origine seulement concédées à ferme et à titre viager, deviennent de véritables propriétés privées, susceptibles de transactions commerciales : peu à peu se constituent de grands domaines privés que leurs propriétaires arabes, résidant dans la capitale, Damas, ou dans les grandes villes, laissent à des fermiers indigènes le soin d’exploiter ; ce développement de la propriété privée – qui accapare les bonnes terres – entraîne une diminution des revenus tirés par l’État de l’impôt foncier. L’État augmente alors les impôts auxquels sont astreints les non-musulmans (impôt foncier ou kharadj, et capitation ou djizya), ce qui a pour conséquences la multiplication des conversions et l’accroissement du nombre des mawali, qui, en principe, ne devraient plus payer que la dîme et les impôts religieux ; mais, l’administration n’ayant pas tenu compte des modifications intervenues, les mawali manifestèrent leur mécontentement et beaucoup d’entre eux rejoignirent les mouvements d’opposition. Le calife Omar II (717-720) introduisit alors des réformes en faveur des mawali et des mesures restrictives à l’égard des dhimmi (protégés), qui furent systématiquement éliminés de l’administration, ce qui provoqua la désorganisation de celle-ci.

Cet extrait est significatif des effets pervers de la prétendue « libéralité » des musulmans vis-à-vis, non pas des « non musulmans » (comme indiqué ci-dessus) mais des « gens du livre » qui acceptent de se soumettre à la dictature islamique en payant la « capitation » (terme « politiquement correct » pour désigner une forme ignoble de racket). Car la notion de « dhimmi » ne s’applique qu’aux seuls « gens du livre », à savoir aux juifs et aux chrétiens. Les autres sont purement et simplement passés au fil de l’épée s’ils ne se convertissent pas illico à l’islam. Les plus « chanceux » étaient réduits à l’état d’esclave !

Cependant, comme l’indique le texte de l’Universalis, malgré le paiement de la rançon censée assurer leur « protection », les dhimmis ont toujours été soumis à des pressions de toutes sortes et nombreux sont ceux qui ont fini par se convertir « pour avoir la paix ». Il en résulte que, dans les pays conquis, tous ceux qui n’ont pas été tués ou qui n’ont pas pu s’échapper ont fini, tôt ou tard, par se « soumettre » d’une manière ou d’une autre.

L’essor de l’islam est donc dû, non à des conversions volontaires mais, dans la toute grande majorité des cas, à cette forme odieuse de terrorisme religieux.

Les autres grandes encyclopédies ne font aucunement allusion à la « dhimmitude », soit par ignorance du fait (pour les éditions anciennes), soit parce que, dans le contexte actuel, il est « politiquement incorrect de parler de cela ». Il ne faut surtout pas « choquer les pauvres musulmans », n’est-ce pas ?


Qu’il s’agisse du « péril musulman » ou d’un autre péril, tout aussi réel, - qui réside dans le retour en force des partis favorables à un « ordre nouveau » - c’est l’ignorance, l’aveuglement, la servilité et la passivité qui constituent les facteurs favorables au développement de ces périls qui menacent gravement nos démocraties. Nous devons donc nous imprégner de la notion de « dhimmitude » si nous ne voulons pas que nos enfants deviennent des « dhimmi » et que nos petits-enfants soient un jour contraints de se « soumettre » à l’islam comme le firent les Perses, les Syriens, les Egyptiens puis des millions de pauvres Africains et Asiatiques qui furent réduits en servitude par les hordes de musulmans. Sans oublier les Ibères d’Espagne qui, pour échapper aux impôts levés par Roderic, ouvrirent toutes grandes les portes de leur pays aux Sarrasins venus du Maghreb par le détroit de Gibraltar.

le Coran exhorte tout musulman à se comporter en « fedayin », autrement dit en « combattant du djihad contre les infidèles pour le triomphe de l’islam ». Le « bon musulman » a le devoir « sacré » de soumettre les « incroyants » et de conquérir tous les territoires qu’ils « contrôlent illégalement » (autrement dit la terre entière) afin que la « parole d’Allah » (ou plutôt celle de Mahomet) y règne jusqu’au « jugement dernier ».

Ca, ce n’est pas nous qui le disons : c’est la « loi » islamique découlant du Coran, celle-là même qui est enseignée dans toutes les « écoles » coraniques, y compris dans les pays de l'occident !
Encore aujourd'hui en terre d’islam, les religieux juifs et chrétiens ont un statut de « dhimmis », du moins dans les pays islamisés où ils sont tolérés (ce qui n’est pas les cas en Arabie Saoudite et dans pas mal d’autres pays musulmans).

AUTRE SOURCE

Statut juridique des dhimmis

Dès le VIIe siècle, lors de leurs premières conquêtes pacifiques ou militaires, les musulmans ont conquis de nombreux territoires. Pour les populations non-musulmanes qui s'y trouvent, a été créé le statut de dhimmi "hôte protégé" avec une imposition spéciale (la jizya et le kharâj) leur garantissant la protection de leurs biens et personne ainsi qu'une liberté de culte. Au XIe siècle, l'école Shafi'i, d'Al-Mawardi définit la condition du "dhimmi", pour les sharias qui suivent cette école :

Un dhimmi fait l'objet d'un statut particulier tout en se prévalant des mêmes droits régalien qu'un musulman. Il n'est pas soumis aux tribunaux de droit commun mais la charia islamique leur permet d'avoir leurs propres tribunaux en fonction de leur culte.

Il est interdit au dhimmi de faire du prosélytisme. Certaines lois musulmanes lui seraient aussi imposées comme l'interdiction du blasphème envers la foi islamique, la consommation d'alcool, la consommation de viande de porc. Certaines obligations étaient destinées aux dhimmis afin que ces non-musulmans soient facilement distinguables des musulmans en public, les souverains musulmans ont souvent interdit aux dhimmis de porter certains types d'habits, et les ont obligés à mettre des vêtements reconnaissables, généralement de couleur vive. Les historiens citent le Pacte d'Umar II dans lequel les dhimmis et plus particulièrement les chrétiens sont supposés accepter une obligation de « toujours s'habiller de la même façon quel que soit l'endroit où ils se trouvent, et … de nouer le zunar (large ceinture) autour de leur taille ». Al-Nawawi impose aux dhimmis le port d'un habit jaune et d'une ceinture, ainsi que d'un anneau métallique à l'intérieur des bains publics
Il impose aussi qu'ils portent une petite clochette dans les bains publics



AUTRE SOURCE

Le texte du Pacte d'Umar tel qu'il apparaît dans l'œuvre d'Ibn Qayyim Al-Jawziyya1 :
« Quand les musulmans ont occupé la Grande Syrie, Omar ibn Al-Khattab a reçu une lettre de la part des chrétiens :
Nous ne construirons pas de nouveaux monastères, églises ou cellules de moines dans les villes musulmanes ni ne nous réparerons d'anciens ;
Nous conserverons nos portes ouvertes aux voyageurs. Nous fournirons gîte et couvert pendant 3 jours au voyageur musulman ;
Nous n'hébergerons pas d'espions dans nos églises ou nos habitations, ni ne dissimulerons leur présence aux musulmans.

[...]

Nous acceptons ces conditions pour nous mêmes et notre communauté et nous recevrons en retour une protection (dhimma)
Si nous violions ces termes, nous nous exposerions aux pénalités de sédition.


Umar répondit : “signez ce qu'ils proposent, mais ajoutez deux clauses à celles qu'ils proposent. Ils ne pourrons acheter quiconque fait prisonnier par les musulmans et quiconque attaquera délibérément un musulman abandonne la protection accordée par ce pacte2” »

AUTRE SOURCE :

Les aspects d'une humiliation permanente.
L’humiliation des dhimmis a pris les formes les plus diverses. interdiction de sonner les cloches des églises, interdiction de se servir des schofars (instrument de musique hébreu, fait dans une corne de bélier et servant dans les offices religieux) , bannières, croix, tout signe visible ou audible de leur foi leur est proscrit avec une obligation de discrétion dans la pratique de leur culte et l’enterrement de leurs morts fait la nuit. Interdiction de construire des nouveaux édifices religieux, juifs et chrétiens, etc. Leur infériorisation se manifestait également entre autres par des vêtements distinctifs et l’interdiction d’avoir des maisons plus hautes que celles des musulmans.

La monte à cheval (animal noble) était également interdite aux « protégés » qui doivent céder le passage lorsqu’ils croisaient à pied un musulman ou s’ils étaient à dos d’âne descendre de leur monture.

Au XVIIIème siècle, le roi Frédéric V du Danemark (1723-1766) envoya une expédition dirigée par le Danois Carsten Niebuhr étudier l’Arabie. C. Niebuhr a raconté qu’en 1761, au cours du séjour de son équipe au Caire, un médecin français y fut mutilé pour n’être pas descendu assez vite de son âne en croisant un seigneur musulman. Le simple passage de non musulmans (impurs) à proximité des mosquées, de certaines maisons, ou de certains quartiers est considéré une profanation.

Lorsqu’il vient payer ses impôts, le dhimmi doit se tenir debout à l’endroit le plus bas, se présenter tête basse, être traité avec dédain. Il faut lui faire sentir que c’est lui faire une grâce que d’accepter de lui la jizia, l’humiliation pouvant être complétée par des soufflets ou des coups de bâton.
L’uléma Muhammad al-Majlissi (mort en 1699) a conseillé de maintenir les dhimmis dans la peur et le doute en ne leur permettant pas de connaître le montant de la jizia, de sorte que, le jour du paiement, ils se présentent avec tout leur argent et comptent jusqu’à ce qu’il leur soit dit de s’arrêter.

En Espagne au XIIè siècle, les obligations d’un inspecteur musulman de l’ordre public consistaient entre autres, à veiller à la parfaite ségrégation des sexes, à l’assiduité à la mosquée et surtout à ce que les juifs portent bien un signe qui permette de les identifier. L’inspecteur devait également s’assurer que les musulmans ne souhaitent pas la paix aux juifs et aux chrétiens qui, étant le parti du diable, devaient être haïs et isolés.

La précarité de la situation des non musulmans, même lorsque leurs services leur permettaient d’atteindre une situation relativement élevée, est illustrée par les massacres en Espagne de près de cinq mille juifs à la suite de la perte de faveur et du meurtre en 1066 de Joseph fils de Samuel ibn Naghrela connu en hébreu comme Samuel ha-Naguid (993 – 1056).
Joseph ibn Naghrela avait repris la charge de vizir assumée par son père au service de la famille Zirid qui dirigeait Grenade. Il suscita des jalousies, et le poète Abû Ishâq de Elvira (mort en 1067) avait alors composé des poèmes appelant les musulmans à ramener les juifs à l’était d’infamie qu’ils méritaient et où ils se trouvaient dans les autres pays musulmans ? Le poète rappela à ses coreligionnaires qu’Allah dans le Coran avait prévenu les musulmans contre la fréquentation des mauvais. Il les appela à sacrifier le chef des juifs (Joseph ibn Naghrela) comme une offrande à Allah et à ne pas non plus épargner son peuple. Ce qu’une foule excitée s’empressa de faire.
Dans les pays sous domination musulmane, les indigènes devenus musulmans, qui retournaient à leur foi d’origine furent toujours exécutés. Ainsi, la fille d’Ibn Hafsoun, descendant du dernier comte de la principauté autonome de Rhonda en Espagne, qui était revenue au christianisme et était entrée dans un couvent à Cordoue, fut extirpée de son couvent, condamnée pour apostasie et égorgée en 937.

Le dhimmi n’avait aucune valeur juridique face à un musulman contre lequel sa parole au tribunal était irrecevable en cas de conflit.

L’accusation de blasphème contre l’islam était (est toujours) en terre d’islam le moyen le plus simple de faire condamner à mort quelqu’un. Sous une apparence de noble défense du sacré, c’est également le moyen le plus sournois de museler et détruire la liberté et la vérité. Des voyageurs européens ont signalé au XVIIIème siècle qu’en pays musulmans, leur parole n’ayant aucune valeur, ils avaient été contraints de payer des sommes importantes à des commerçants qui les accusaient d’avoir insulté l’islam.

Dans l’Espagne sous dominations musulmane, pour pallier au manque à gagner résultant des conversions d’indigènes qui ne payaient plus la jizia, les autorités musulmanes avaient décidé de continuer à faire payer le Kharaj aux convertis distinguant les musulmans de la première heure ainsi que leurs descendants de ligne masculine des convertis plus récents, les « moualladuns ».

La ségrégation et la haine entretenues entre musulmans, non musulmans et nouveaux musulmans, Arabes et non Arabes dans la population en Espagne y ont souvent entraîné des éruptions de violence spontanée. En 891, lorsque le corps arabe originaire du Yémen qui constituait la garnison de Séville se souleva, les soldats déchaînés massacrèrent aussi bien les dhimmis que les convertis moualladuns dont les vieux musulmans doutaient de la sincérité. Un poète arabe du IXème siècle célébra ces massacres se félicitant de la mise à mort des nouveaux musulmans, esclaves et fils d’esclaves.

+++ ils y en a eu beaucoup d'autres humiliations dans le statut de dhimmi.

Les inquisiteurs musulmans chargés de contrôler la sincérité des nouveaux convertis retiraient les enfants de leurs familles et les confiaient à des familles musulmanes. Pour leur échapper, le grand savant juif Maimonide feignit la conversion à l’islam, puis se réfugia en Egypte. En 1148, les juifs furent renvoyés d’Espagne par les musulmans dans des conditions que l’on retrouvera lors des expulsions organisées par le pouvoir royal espagnol en 1492.

L’histoire prouve donc qu’il est vital de refuser d’entrer dans le jeu des islamistes qui tentent actuellement d’imposer partout une ségrégation entre les musulmans et les non-musulmans et de remettre en question les traditions et la culture de leur pays d’accueil.

Pendant ce temps, nous de civilisation judéo-chrétienne, nous continuons à leur tendre l'autre joue, nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé, ..., nos droits de l'homme, nos libertés, nos principes laïcs de tolérance, notre démocratie, nous font acceptés tout ce que les musulmans exigent : piscines pour musulmanes, produits hallal dans les cafétérias et restaurants publics (usines, écoles, ...), des salles de prières musulmanes dans les écoles, les lieus de travail, hôpitaux, ... , le port du voile ou pire du niqab dans les lieus publics, des médecins féminins pour soigner leurs femmes, etc, etc. ....
Nous les acceptons en grand nombre dans nos pays, mais ce n'est pas à eux à s'intégrer mais à nous à accepter leurs modes de vie. Le coran les oblige à ne pas s'intégrer à une autre civilisation que la leur :
Sourate V, verset 56. : 0 croyants ! ne prenez point pour amis les juifs et les chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour ami finira par leur ressembler, et Dieu ne sera point le guide des pervers.
Ou encore : sourate IV verset 143. : O croyants ! ne prenez point d'amis parmi les infidèles plutôt que parmi les croyants. Voulez-vous fournir à Dieu un argument contre vous, un argument irréfragable ?.
Les infidèles sont tous ceux qui ne sont pas musulmans.
En s'intégrant ils nous ressemblerons.
Donc, un (e) musulman (e) pratiquant (e) qui se dit votre ami (e) est un hypocrite. Ils sont chez nous dans le seul but de nous dominer, comme ils ne peuvent aujourd'hui le faire par les armes, ils font des enfants ( avec le ventre de leurs femmes et de nos femmes comme ils disent) et dès qu'ils pourront prendre le pouvoir, nous pourrons dire adieu à notre démocratie, nos droits de l'homme, notre laïcité, nos lois (remplacer par les lois musulmanes), nos us et coutumes, nos modes de vie, ... nous aurons comme choix, nous convertir à l'islam, devenir des dhimmis ou mourir.
L'islam est une religion qui prône l'intolérence, la haine, le racisme, le misogynisme, l'esclavage, la violence jusqu'au meurtre, ...
Il nous réagir en obligeant nos politiques a ne pas accepter de nouveaux musulmans sur nos sols, obliger les musulmans à s'intégrer ou partir, les expulser de nos pays quand ils crachent sur nos drapeaux, sifflent nos hymnes nationaux, niquent (baisent) nos pays, niquent nos polices, refusent nos lois, etc.
Ne pas payer ou accepter de dons venant de l'étranger pour construire des mosquées, ne pas subventionner des "Centres culturels musulmans" qui deviennent rapidement des lieux de prières où les imans crachent leur venin sur l'occident et prêchent la guerre sainte.
Interdire la publication et la vente du coran, livre préchant la haine, l'intolérence, le racisme, l'esclavage, le misogynisme, la violence, le terrorisme, ...

Lire le coran pour vous faire une idée par vous-même :
[www.portail-religion.com]
Re: LA DHIMMITUDE
07 novembre 2011, 21:29

A lire et a relire. Simplement des paroles d'or.
Re: LA DHIMMITUDE
09 novembre 2011, 02:33
Et bonjour la persécution des musulmans ! eye popping smiley
Re: LA DHIMMITUDE
09 novembre 2011, 03:12
Après que les romains ont utilisé pendant longtemps les idées de Jésus contre les juifs, et maintenant on va utiliser le Coran pour persécuter les musulmans !!
Re: LA DHIMMITUDE
09 novembre 2011, 14:33
Très bonne perception Oreillette!

Et c'est là surement que les Arabes se tourneront vers les Juifs...en amis, soit il pour quelque temps.
Tout comme déjà les Saoudis, avec peur de l'Iran, tournent autour leur gros bakshish terrm sous la table, avec Israël..
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